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Au début des années 80, Eric et Patti se rencontrent et se marient. La jeune femme découvre alors les tortures endurées par son époux autrefois prisonnier des Japonais en Thaïlande. De cette histoire vraie rappelant Le Pont de la rivière Kwaï, de David Lean, l’Australien Jonathan Teplitzky signe une fresque ambitieuse entre passé et présent, psychanalyse et pardon. Classique mais tenu, malgré des effets appuyés, le film bénéficie, dans les flash-back, de la présence convaincante de Jeremy Irvine incarnant Colin Firth jeune.
Toutes les critiques de Les Voies du Destin
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Joliment joué, un film profondément émouvant, la fin est tout de même prévisible et imméritée.
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Firth et Nicole Kidman relèvent le défi avec brio, une histoire fascinante avec des performances mesurées et mémorables.
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Un film qui suscite l’amour, la guérison et beaucoup de mouchoirs.
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Sans doute un peu trop académique dans sa réalisation, Les voies du destin n’en demeure pas moins un très beau film grâce à la puissance de son script humaniste et à l’interprétation magistrale d’un Colin Firth au sommet.
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Un film avec de la valeur mais les problèmes de structure et de ton le font s’écarter du but
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La véritable vie d’Eric Lomax est laborieusement racontée à travers le drame de Jonathan Teplitzy.
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Firth a du mal à donner un sens à ce qu’il est devenu, le film en souffre avec lui.
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Cette histoire tirée des mémoires de Lomax est convaincante mais le fond n’est pas assez solide.
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Beaucoup d’imperfections, tout comme Colin Firth.
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Tiré d’une histoire vraie, ce biopic qui mêle amour et film de guerre doit beaucoup à Colin Firth et vous bouleversera par son dénouement.
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Malgré un casting de stars, les Voies du destin souffre d’un scénario trop démonstratif. Mais l’histoire, vraie, reste poignante.
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La confrontation entre le bourreau d'hier et sa victime. La question de la vengeance ou du pardon ne se pose pas, quoi qu'essaie de faire croire le scénario. Mais le face-à-face, où se heurtent les effrois de l'un et de l'autre, a de la gueule. N'y manque qu'un réalisateur inspiré.
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Une histoire de réconciliation moralement admirable mais dramatiquement plate.