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Pascal Plisson reprend le principe de son documentaire "Sur le chemin de l’école", qui a rencontré un vif succès en 2013 : deux filles et deux garçons vivant dans différents pays (Cuba, Inde, Mongolie et Ouganda) sont filmés en parallèle. Il ne s’agit plus pour les enfants de braver la route difficile qui mène à l’école, mais de se préparer à un moment crucial (un combat de boxe, une audition ou un concours) qui déterminera la suite de leur existence. Si la trame du film entend ménager un certain suspense, cet ensemble d’images prônant le dépassement de soi souffre d’une forme peu audacieuse et d’un point de vue sans grande originalité, qui se contente d’exposer la souffrance nécessaire à la réalisation des rêves.
Toutes les critiques de Le grand jour
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Ce nouveau long-métrage est aussi touchant qu’il est éducatif.
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Ces gamins déterminés à prendre leur existence en mains devraient connaître un succès similaire aux écoliers de "Sur le chemin de l’école". Ils sont faits du même bois, celui avec lequel on bâtit sa propre réussite.
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Ce nouveau long-métrage est aussi touchant qu’il est éducatif.
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Ces gamins déterminés à prendre leur existence en mains devraient connaître un succès similaire aux écoliers de Sur le chemin de l’école. Ils sont faits du même bois, celui avec lequel on bâtit sa propre réussite.
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l n’était pas utile pour Pascal Plisson d’apporter à son œuvre un tel sentimentalisme, d’autant que l’ensemble du film surfe sur un tsunami de pudeur, ce qui apporte un contraste malvenu.
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D'une sincérité touchante, même si toutes les histoires ne se valent pas.
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La volonté de réussir est un beau sujet, aussi important qu'émouvant. Pascal Plisson a seulement le tort d'en simplifier les enjeux.
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Cette nouvelle épopée n’est pas plus subtile que la précédente, mais dotée des mêmes vertus galvanisantes – qu’on aurait tort de négliger en cette rentrée scolaire.
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D'une sincérité touchante, même si toutes les histoires ne se valent pas.
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La volonté de réussir est un beau sujet, aussi important qu'émouvant. Pascal Plisson a seulement le tort d'en simplifier les enjeux.
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Cette nouvelle épopée n’est pas plus subtile que la précédente, mais dotée des mêmes vertus galvanisantes – qu’on aurait tort de négliger en cette rentrée scolaire.