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Après Gainsbourg (vie héroïque), le deuxième film de Joann Sfar signe son retour au dessin, avec l'adaptation de sa BD à succès, Le Chat du rabbin. On retrouve dans cet enthousiasmant film d'animation l'œcuménisme et le goût du baroque chers à Sfar.
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(...) le film de Sfar propose beaucoup de dialogues (brillants) mais peu d'action. Contrairement à Satrapi qui imprimait à son adaptation une vraie dynamique cinématographique (découpage complexe, invention visuelle, voix off distanciée), Sfar ne s'écarte pas assez de la BD. C'est beau, stylé et substantiel, certes, mais sans le souffle épique requis, l'acmé de l'intrigue se situant au moment où nos héros sont froidement accueillis dans le désert par des Arabes menaçants. C'est bien d'avoir de l'ambition, mais c'est encore mieux d'avoir une vision, comme ce fut le cas pour Sfar avec son Gainsbourg (vie héroïque).
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(...) le film de Sfar propose beaucoup de dialogues (brillants) mais peu d'action. Contrairement à Satrapi qui imprimait à son adaptation une vraie dynamique cinématographique (découpage complexe, invention visuelle, voix off distanciée), Sfar ne s'écarte pas assez de la BD. C'est beau, stylé et substantiel, certes, mais sans le souffle épique requis, l'acmé de l'intrigue se situant au moment où nos héros sont froidement accueillis dans le désert par des Arabes menaçants. C'est bien d'avoir de l'ambition, mais c'est encore mieux d'avoir une vision, comme ce fut le cas pour Sfar avec son Gainsbourg (vie héroïque).
Toutes les critiques de Le chat du rabbin
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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On reste ébloui devant la splendeur visuelle de daguerréotypes vivants où évolue ce chat sage qui sort ses griffes contre l'intolérance avec un humour ravageur.
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Un pur plaisir, variation habile et infiniment colorée sur l’art et la manière de vivre ensemble en dépit des communautarismes.
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Une fable jamais mièvre, souvent acide, taillée dans humour brillant et bavard.
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Vivant, vibrant, coloré et poétique, ce conte orientaliste moderne, animé en 3D, devrait enchanter… de 7 à 77 ans.
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Malgé ces réserves et bémols divers, Le Chat du Rabbin reste un divertissement intelligent
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Malgé ces réserves et bémols divers, Le Chat du Rabbin reste un divertissement intelligent
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Vivant, vibrant, coloré et poétique, ce conte orientaliste moderne, animé en 3D, devrait enchanter… de 7 à 77 ans.
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Après Gainsbourg (vie héroïque), le deuxième film de Joann Sfar signe son retour au dessin, avec l'adaptation de sa BD à succès, Le Chat du rabbin. On retrouve dans cet enthousiasmant film d'animation l'œcuménisme et le goût du baroque chers à Sfar.
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Un chat qui parle, un rabbin malhabile, un dessinateur talentueux et une narration simple : quelques ingrédients qui font de l’adaptation de la BD de Sfar une oeuvre fidèle et de qualité, qui risque d’enchanter davantage les grands que les petits...
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Une fable jamais mièvre, souvent acide, taillée dans humour brillant et bavard.
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Un chat qui parle, un rabbin malhabile, un dessinateur talentueux et une narration simple : quelques ingrédients qui font de l’adaptation de la BD de Sfar une oeuvre fidèle et de qualité, qui risque d’enchanter davantage les grands que les petits...
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"Le Chat du rabbin" est un singulier exercice philosophique qui séduit autant par son esprit que par ses perspectives.
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Les adeptes de la bande-dessinée ne gagneront pas grand-chose à découvrir ce travail de gonflette visuelle. Pour les autres, le film constituera peut-être une luxueuse invitation à aller flâner dans les librairies.
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D'un graphisme magnifique, classique mais élégant, ce film d'animation est boosté en 3D
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Ce plaidoyer pour la tolérance relève d'un prêchi-prêcha si gentiment ennuyeux qu'il peine à nous convaincre de sa légitimité.
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Avec un graphisme de toute beauté et une BO entêtante, Joann Sfar reste fidèle à l’esprit frondeur de ses albums de bande dessinée pour brocarder les ostracismes religieux.
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Avec un graphisme de toute beauté et une BO entêtante, Joann Sfar reste fidèle à l’esprit frondeur de ses albums de bande dessinée pour brocarder les ostracismes religieux.
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Ce plaidoyer pour la tolérance relève d'un prêchi-prêcha si gentiment ennuyeux qu'il peine à nous convaincre de sa légitimité.
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D'un graphisme magnifique, classique mais élégant, ce film d'animation est boosté en 3D
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Les adeptes de la bande-dessinée ne gagneront pas grand-chose à découvrir ce travail de gonflette visuelle. Pour les autres, le film constituera peut-être une luxueuse invitation à aller flâner dans les librairies.
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Le Chat du rabbin est plus proche d'un « Oui-Oui et les juifs » que des studios Ghibli.
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Le Chat du rabbin est plus proche d'un « Oui-Oui et les juifs » que des studios Ghibli.