Date de sortie 17 avril 2024
Durée 72 mn
Réalisé par Nicolas Philibert
Année de production 2024
Pays de production France
Genre Film documentaire
D’après l’œuvre de Nicolas Philibert
Couleur Couleur

Synopsis

Dernier volet du triptyque initié avec Sur l’Adamant puis Averroès & Rosa Parks, le film poursuit sa plongée au sein du pôle psychiatrique Paris centre. Ici, le cinéaste accompagne des soignants bricoleurs au domicile de quelques patients soudain démunis face à un problème domestique, un appareil en panne, etc…

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Critiques de La Machine à écrire et autres sources de tracas

  1. Première
    par Thierry Chèze

    Nicolas Philibert clôt ici en beauté une trilogie qui restera un marqueur dans sa carrière. Un voyage en psychiatrie entamé avec Sur l’Adamant, cette péniche parisienne qui offre un cadre de soins et des ateliers culturels à des patients en souffrance psychique puis Averroés et Rosa Parks, centré sur des échanges entre soignants et malades. Ici, le réalisateur s’intéresse aux visites que font les soignants du même pôle psychiatrique de Paris Centre aux domiciles de trois patients empêtrés dans des soucis domestiques. Et après s’être effacé dans le deuxième volet, il revient au cœur du dispositif, qu’il interpelle ou soit interpellé, sans ne rien perdre de ce regard toujours à parfaite distance de ceux qu’il filme. Il n’assène aucune leçon mais donne à voir et à entendre pour balayer tous les a priori sur un monde que peu ont su capter avec autant de justesse et de sensibilité, non dénuée d’espièglerie.

  2. Première
    par Thierry Chèze

    Nicolas Philibert clôt ici en beauté une trilogie qui restera un marqueur dans sa carrière. Un voyage en psychiatrie entamé avec Sur l’Adamant, cette péniche parisienne qui offre un cadre de soins et des ateliers culturels à des patients en souffrance psychique puis Averroés et Rosa Parks, centré sur des échanges entre soignants et malades. Ici, le réalisateur s’intéresse aux visites que font les soignants du même pôle psychiatrique de Paris Centre aux domiciles de trois patients empêtrés dans des soucis domestiques. Et après s’être effacé dans le deuxième volet, il revient au cœur du dispositif, qu’il interpelle ou soit interpellé, sans ne rien perdre de ce regard toujours à parfaite distance de ceux qu’il filme. Il n’assène aucune leçon mais donne à voir et à entendre pour balayer tous les a priori sur un monde que peu ont su capter avec autant de justesse et de sensibilité, non dénuée d’espièglerie.