Toutes les critiques de L'été de Giacomo

Les critiques de Première

  1. Première
    par Isabelle Danel

    Dans un coin de paradis trouvé au détour d’une balade d’été, Giacomo et Stefania, deux grands adolescents (lui sourd, elle pas) s’ébattent et s’amusent en toute innocence. Docu ou fiction ? Les deux, mon capitaine. Suivant avec sa caméra sa propre nièce et le fi ls de l’un de ses amis, le réalisateur fabrique du faux par sa présence et celle de son équipe, même réduite. Primé à Locarno et Belfort, ce long métrage hybride manque d’un propos construit et d’un point de vue. Mais Comodin, doué pour saisir l’insaisissable, s’annonce comme un auteur à suivre.

Les critiques de la Presse

  1. Le Monde
    par Isabelle Regnier

    Ce film est la bouffée de bonheur à laquelle vous n'osiez plus aspirer. (...) Une pure sensation de soleil, puissant, sec, intense (...). Ce premier long-métrage d'Alessandro Comodin s'avère d'une limpidité radieuse.

  2. Libération
    par Julien Gester

    L'acuité du regard impressionne, tout comme la sensibilité du travail sonore. Dans un geste très actuel, ce cinéma naissant tient loin de lui toute esquisse de catégorisation - documentaire, fiction, peu importe, c'est simplement très beau.

  3. Les Inrocks
    par Romain Blondeau

    Un lumineux teen-movie sous forme de chronique d'été bouscule avec joie les lignes du documentaire et de la fiction. Une grande promesse du cinéma italien.

  4. Critikat.com
    par Raphaëlle Pireyre

    Alessandro Comodin filme comme une transe le dernier été comme sourd de Giacomo, adolescent qui a décidé d'être opéré pour entendre de nouveau. Centré sur les sensations fugaces, le film consigne les émotions du jeune homme.

  5. Excessif / TF1 News
    par Romain Le Vern

    [Alessandro Comodin] a su trouver une forme idéale entre documentaire et fiction avec une sorte de superpouvoir originel de la mise en scène et affirme une capacité à montrer moins pour signifier plus.

  6. Les Cahiers du cinéma
    par Mathieu Macheret

    Le film lance ainsi de drôles de ponts entre ses réminiscences antiques (...) et une inscription très contemporaine.

  7. Mad Movies
    par Alexandre Poncet

    Le réalisateur installe avec élégance une nostalgie aussi universelle qu'intemporelle pour symboliser délicatement la complexité du sentiment amoureux.

  8. StudioCiné Live
    par Xavier Leherpeur

    Giacomo dans les bois, à la batterie, à la plage... Répétitif et interminable.