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Documentaire finalisé en 2009 avant Qu’ils reposent en révolte (sorti en 2011), L’Impossible... en est comme le brouillon, un cri en cinq parties jeté sur la pellicule. Les deux premières montrent la jungle de Calais et ses clandestins, « habitants » malgré eux. Les troisième et quatrième suivent des manifestations de sans-papiers en 2009. La dernière évoque l’incurie politique. Inconfortable et tapageur, moins convaincant que Les Éclats..., qui sort simultanément et finalise le triptyque, ce film interpelle indéniablement
Toutes les critiques de L'Impossible, Pages Arrachées
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Couleurs et Noir & Blanc, sons et silences, ici et ailleurs, maintenant et avant : Sylvain George mêle tout cela dans une composition musicale pour traduire une colère globale.
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Sylvain George (...) est le chef d'orchestre d'une rageuse cacophonie stylistique (...) un hurlement en faveur de la justice qui module toutes les gammes du cinéma.
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Une démarche poétique et insurrectionnelle par laquelle le cinéaste agence des fragments d'un monde où s'entrechoquent violence politique, esprit de résistance, fulgurances artistiques, pulsions de vie...
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Sylvain George (...) est le chef d'orchestre d'une rageuse cacophonie stylistique (...) un hurlement en faveur de la justice qui module toutes les gammes du cinéma.
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En alliant fond et forme, poétique et politique, Sylvain George met l’image au service de la vérité. Il sort deux nouveaux films.
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Fascinant car ces docs se révèlent hypnotiques, abscons car on a souvent l'impression que le réalisateur se regarde filmer.
