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La cinéaste narre l’histoire d’un fermier taciturne qui adopte un gamin pour soulager son mutisme et sa mélancolie. Surprise, le môme est interprété par... Darry Cowl, dans son dernier rôle. Nostalgie et fantaisie sont censées entamer un séduisant pas de deux, mais le film, hélas, se prend les pieds dans le tapis.
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Un fermier muet et taciturne parle uniquement à sa mère et aux enfants (sic). Il décide donc d’en adopter un pour se soigner. Mais l’enfant, c’est Darry Cowl dans son dernier rôle (re-sic). Cette fantaisie en sépia flirte constamment avec l’abscons. En voulant mêler nostalgie douce et folie pince-sans-rire, la réalisatrice Delphine Gleize (Carnages, 02) se prend les pieds dans le tapis. On en ressort hébété, à l’image d’Artus de Penguern tout au long du film.
Toutes les critiques de L' Homme qui rêvait d'un enfant
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Pas de scènes d'action. Pas de dialogues, ou presque. Pas d'effets spéciaux, cela va sans dire. Alors quoi? De la magie tout simplement. Et de l'amour, énormément d'amour.
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Ce film est un ornithorynque cinématographique : il ne ressemble à rien.
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Un dialogue à la mime Marceau s'engage dès lors entre le père et le fils, dont on ne pénètre pas l'intérêt et dont on perd rapidement le fil. On aura compris que ce film est une fable et que son recours invétéré à la licence poétique lui est fatal.