L'Âge de glace 3 : le temps des dinosaures-
Au cinéma, la loi des séries est impitoyable. Il plane ainsi une étrange malédiction sur le troisième volet des sagas. Pour réussir son Âge de glace 3, Carlos Saldanha a donc pris ses précautions. D’abord, il a rassemblé la meute des deux premiers épisodes au grand complet et a repris la même recette : amitié interespèce, gags et vannes au poil, quête initiatique à tous les étages. Mais ce n’est pas tout. Le bonus réside ici dans les améliorations techniques (passage à la 3D en tête) et les guests. Les dinosaures sont en effet les stars incontestées de ce troisième opus. Les paléontologues crieront au scandale (des T-Rex voisinant avec des ankylosaures ? des velociraptors qui copinent avec des diplodocus ? La chaîne de l’évolution est toute chamboulée !), mais il faut avouer que, grâce à eux, le film déménage. Face à la poésie de Pixar ou à l’humour potache de DreamWorks, Blue Sky propose un cinéma vraiment familial qui se réapproprie l’un des grands thèmes du cinéma américain : le foyer et sa place au sein du groupe.
Toutes les critiques de L'Âge de glace 3 : le temps des dinosaures
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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(...) L'équipe d'animateurs en 3D s'en est, pour la troisième fois, donné à coeur joie sans se soucier une seconde de la vérité préhistorique. L'anachronisme ne leur fait pas peur, à nous non plus.
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Drôle et toujours aussi inventif, ce troisième volet, ouvert sur l'humour, l'amour et la solidarité, tient toutes ses promesses.
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Comme les deux précédents, le troisième volet de L'Age de glace brille plus par son humour que par son graphisme.
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L'Age de glace 3 propose, autour d'une horde de personnages excentriques déjà connus du public, un univers familier mais totalement renouvelé, et toujours aussi tonique.
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Avec cet Age de glace 3, on se retrouve propulsé quelque part entre Le monde perdu et Jurassic Park. Mais passé la bonne surprise du dépaysement visuel, l'histoire nous laisse un peu de glace.
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Une aventure en 3 D avec des personnages irrésistibles bien que le scénario convenu soit prétexte à enchaîner les gags.
