Toutes les critiques de Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés

Les critiques de Première

  1. Première
    par Gael Golhen

    Suite de confessions brutes sur la souffrance au travail, Ils ne mouraient pas tous s'empare d'un sujet passionnant et mulitplie les témoignages effrayants. Mais le film est carrément hostile au spectateur par son dispositif : cadre fixe, plans-séquences sans voix off et caméra immobile... En choisissant cette objectivité éprouvante, Bruneau et Roudil enregistrent la parole des victimes sans jamais lui donner vie ou apporter un semblant d'humanité à un problème pas rigolo.