-
Le film a le mérite de ne pas dévoiler trop vite son jeu, mais ses conclusions conventionnelles font penser à une version norvégienne de Happy Few, d’Antony Cordier. Rien de nouveau sous la neige.
Toutes les critiques de Happy, Happy
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
-
L’imbroglio amoureux tourne au n’importe quoi et le rythme s’affaisse soudain, malgré les rebondissements en série. On espérait d’autant plus un air vivifiant que le film a été récompensé au dernier Festival de Sundance. Malheureusement, on a le sentiment de patauger dans la neige molle de fin de saison.
-
Quelques éclairs peu politiquement corrects jaillissent, mais le rythme mollasson plombe un récit souvent attendu, dont les tentatives de délires tombent à plat