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Loin d'un blockbuster décérébré ou d'un film de propagande, Du sang et des larmes est brutal, violent et lumineux.
Toutes les critiques de Du Sang et des Larmes
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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La promesse non tenue du Royaume se voit ici honorée de fort belle manière..
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Reste que ce morceau de cinoche a l’intelligence de ne pas se repaître des instincts les plus condamnables auxquels aurait succombé un faiseur forcément moins éclairé que l’auteur Peter Berg.
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(...) ce film impressionnant par sa maestria technique marquera les esprits.
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Peter Bergh a su imprimer à son scénario un rythme un réalisme, une tension impressionnants qui convaincront les amateurs de scènes d'action violentes, mais sans esbrouffe.
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Cette histoire n’est rien d’autre qu’un miracle.
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C’est le genre de film de guerre qui réduit tout à l’essentiel, ça aurait pu fonctionner ici si le réalisateur avait, au moins, donné du caractère à ses personnages.
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Peter Berg parvient à faire ressentir la dureté des combats de façon spectaculaire, avec un moment particulièrement saisissant lorsque les commandos dévalent une pente rocheuse.
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un fi lm coup-de-poing qui, par-delà son aspect un brin propagandiste, laisse un arrière-goût amer et la gorge serrée.
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Dans tous les cas, aussi maladroit soit-il, le film de Peter Berg, implacable, offre un point de vue hollywoodien douloureux non dépourvu de sens sur le bourbier afghan.
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Dans tous les cas, aussi maladroit soit-il, le film de Peter Berg, implacable, offre un point de vue hollywoodien douloureux non dépourvu de sens sur le bourbier afghan. Âmes sensibles s’abstenir.
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A croire que les bons films de guerre actuels ne parlent que de défaites...
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Un film modeste, compétent et efficace avec la volonté d’expliquer comment on en arrive là.
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Lone Survivor est dans la glorification avant d’être dans la description.
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Berg aurait pu respecter les faits réels mais son film puéril est un déshonneur pour ceux qui s’impliquent.
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(...) malgré quelques fulgurances, le film a le défaut de sentimentaliser et d’édifier, au lieu de s’en tenir strictement aux faits(...)
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Un film chauvin.
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Berg ne sait produire qu’une succession de gros plans sur des visages couverts d’hémoglobine et de prothèses de cicatrices béantes, avec un systématisme quasi pornographique, jusqu’au grotesque.
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On sent bien que le réalisateur se rêve en Michael Mann républicain, mais c'est le cinéma syncopé d'Oliver Stone qu'il parodie involontairement, l'idéologie bushiste en sus, la virtuosité en moins.