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Jamie Foxx et Beyoncé Knowles : duo de choc ? Dans cette reprise d’une comédie musicale des années 80 la révélation, c’est plutôt Jennifer Hudson. Pas étonnant qu’elle ait reçu la récompense de la meilleure actrice dans un second rôle aux Golden Globes ! Dreamgirls de Bill Condon est son premier film et, pourtant, elle vole la vedette à Beyoncé. Le spectateur se laisse envoûter par son interprétation de I Love You, I Do, déclaration d’amour destinée à Curtis (Jamie Foxx). Si la performance masculine de ce dernier est correcte, c’est Eddie Murphy qui monopolise l’attention. Après les décevants Dr Dolittle (1998) et la Famille Foldingue (2000), on retrouve dans Dreamgirls son talent comique. Surprenant !
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La première arnaque de cette comédie musicale consiste à vendre Beyoncé Knowles comme “leading actress”, alors que c’est la rondouillarde ex American idol Jennifer Hudson qui tient le haut du pavé. La deuxième réside dans l’indigence du scénario, à peine masquée par des numéros musicaux qui n’en finissent pas de ne pas finir. La troisième, c’est qu’on n’entend même pas du Diana Ross. Heureusement qu’Eddie Murphy sauve (un peu) la party.
Toutes les critiques de Dreamgirls
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Oui, bien sûr, il y a Beyoncé Knowles, parfaite. Mais la révélation de ce "musical", c'est la très grande Jennifer Hudson, qui réussit le tour de force de se montrer, avec sa moue enfantine et sa voix somptueuse, à la fois puissament convaincante et d'une fraîcheur émouvante.
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Au rythme d’une BO de rêve électrisée par Beyoncé, Dreamgirls est un show brillant, 100% divertissant. Comme seul Hollywood en a le secret.
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Dreamgirls est un show brillant, 100% divertissant. Comme seul Hollywood en a le secret.
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Au musée de la pop, suivez le guide : ascension fulgurante, drames et dissensions causés par le succès, chemin de croix de celle qu’on a écartée, prison dorée pour la vedette. Un vrai manuel à l’usage des (futures) concurrentes de la Nouvelle star.
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Le destin fabuleux de Diana Ross et des Suprêmes revu à la sauce hollywoodienne. Une succession de clips à la gloire de Beyoncé, elle-même sans grand talent.