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Zac Efron et Robert De Niro. L’idole des adolescentes et l’icône de la génération X. Ce drôle de ticket est le principal atout de Dirty Papy dans lequel le second interprète l’aïeul vicelard du premier sur le point de se marier avec une blonde tête à claques, bien sous tous rapports. L’argument, un brin réactionaire et simpliste (les jeunes d’aujourd’hui sont vieux, les vieux sont jeunes, le sexe c’était mieux avant...) est un parfait véhicule pour les deux stars qui jouent sur leurs qualités : la gouaille et les mimiques pour le vétéran ; le sourire enjôleur et les abdos pour le junior. Dan Mazer signe une comédie passe-partout, régressive et sans surprises, sitôt vue, sitôt oubliée.
Toutes les critiques de Dirty Papy
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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C'est triste de regarder un parent âgé et aimé se ridiculiser totalement.
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Il y a une petite alchimie entre le tristement peu drôle Zac Efron et un De Niro en mode somnambule. Aussi bien l'éveil de Jason que les plans de Dick sonnent faux.
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Même si une grande partie des blagues timidement crues ne marchent pas, celles plus déjantées fonctionnent.
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L'humour est au ras de pâquerettes, parfois même il descend jusqu'aux racines… mais tout est assumé, "Dirty Papy" cultive un rire épais mais avec une belle régularité. Et, selon son état d'esprit, on peut se marrer souvent.
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C'est officiel, on a définitivement perdu Robert De Niro.
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Dirty Papy, c'est un peu comme si on regardait la troupe d'impro médiocre d'un ami dans un long sketch sur le spring-break. Et votre ami n'est autre que Robert de Niro.
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Vous vous sentirez mal pour vous et pour toutes les autres personnes qui le verront. Et pour tous ceux qui doivent vivre dans un monde dans lequel ce film existe matériellement.
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Dirty Papy a au moins un mérite. Il rend Mon beau-père, mes parents et moi, la précédente "pire comédie" de De Niro, pas si mal en comparaison.
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On peut définitivement dire que Dirty Papy n'est absolument pas drôle.
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C'est choquant sans être vraiment outrancier, cochon sans vraiment briser de tabous. Et pour une comédie "road-trip", elle reste sur la voie de droite. Avec ses clignotants allumés.
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Tout semble ici pourtant un peu forcé et on ressent un peu douloureusement l’artifice qui consiste à remplir la bouche du personnage de Robert De Niro de laborieux "I Want to Fuck" ("je veux baiser") jusqu’à épuisement. Bref, on n’y croit guère.
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Navrant néanmoins d'y voir un Robert De Niro une énième fois perdu dans ce genre de production sans grand intérêt.
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Grossier, dans tous les sens du terme, Dirty Papy est un film à l'humour vicieux, mal réalisé et pas drôle, à un point désespérant.
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Dirty Papy vous donne l'impression d'avoir passé un peu plus de 100 minutes avec un bambin scatologique qui vous montre fièrement ce qu'il vient de faire dans sa couche. Ne regardez pas, à moins que vous soyez obligés de le faire.
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Mais qu'arrive-t-il au mythique Robert De Niro ? Aurait-il besoin d'argent au point d'enchaîner des navets plus affligeants les uns que les autres ?
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Lourdeur, vulgarité et recyclage composent le tiercé perdant de cette casserole de compet' qui fera (grosse) tâche sur le CV des acteurs.
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Ici, le concept abruti échoue littéralement à trouver toute justification récréative dans sa volonté tordue de gonfler ses recettes sur des gags repoussoirs, controversés et effroyablement obscènes.