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L’histoire « vraie » de Ralph Sarchie, un inspecteur du Bronx faisant équipe avec un exorciste pour résoudre une série de meurtres. Chouette, un nanar! Monsieur Sinister ficelle un mélange de polar et d’horreur où s’empilent tous les clichés possibles. Serial killer, chats crevés, possession diabolique... Difficile de savoir à quel degré prendre un film où des chansons des Doors annoncent la venue du Malin... Eric Bana parvient toutefois à garder son sérieux même pendant la scène d’exorcisme carrément grandguignolesque, tandis qu’Édgar Ramírez, lui, se donne à fond en prêtre sexy. Un vrai régal.
Toutes les critiques de Delivre-nous du Mal
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Vous avez aimé L’Exorcisme d’Emily Rose et Sinister ? Vous allez sursauter et planter vos ongles dans le bras de votre Loulou devant ce scary movie bien flippant.
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Ce thriller surnaturel mise sur son atmosphère poisseuse pour attraper le spectateur amateur de sensations fortes dans ses filets. Ici, le diable, c'est la guerre.
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Ce film n’est jamais ennuyeux. L’atmosphère est déconcertante, le spectateur risque d’être surpris. L’interprétation est également très fiable.
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Un spectacle d’horreur intense et efficace.
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Polar d'horreur très efficace, très angoissant, même sanguinolent dans la dernière partie où le réalisateur s'en donne à coeur joie dans un improbable remake de "L'Exorciste" (frissons garantis). "Delivre-nous du mal", s'il permet de retrouver Eric Bana en pleine forme, offre aussi un excellent rôle au Mexicain Edgar Ramirez.
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Le réalisateur Scott Derrickson a visiblement un don pour créer des atmosphères mais il a, en revanche, un vrai problème de rythme. Certaines scènes sont effrayantes alors que d’autres manquent d’inspiration.
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Une direction qui tient la route et le casting de qualité permettent de rendre toutes ses foutaises tolérables.
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« Délivre-nous du mal » vous fera frissonner, du gore et tous les clichés du genre sont réunis.
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Le côté surnaturel du film souffre de quelques imperfections cependant le conflit central fonctionne bien.
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Après « the exorcism of Emily Rose », il serait temps pour Derrickson de changer de registre.
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Le réalisateur Scott Derrickson nous livre un nouveau film sans frissons particuliers.
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Encore un de ces films improvisés sur le thème de l’exorcisme.
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C’est le caractère prévisible plutôt que le fait d’être possédé qui est gênant ici.
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Eric Bana et Edgar "Carlos" Ramírez pataugent dans la semoule de ce thriller ridicule et mal fait.
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Un tract catho maquillé en film de possession : gênant. (...) un nouveau film de possession hyperformaté qui exploite et détourne les codes du cinéma horrifique au profit d’un prêchi-prêcha indigeste.