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Lawrence respecte son cahier des charges avec un zèle que vous apprécierez selon votre inclination du moment - les passion dévorent, les amours sont contrariées et Robert Pattinson est impeccablement coiffé. Imaginez du Baz Luhrman sans la folie pop et les effusions bariolées, et vous aurez une idée assez fidèle du résultat : une fresque somptueuse et envoutante mais à qui il manque parfois un peu d'âme.
Toutes les critiques de De l'eau pour les éléphants
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Un film à l’ancienne, d’un romanesque luxueux, hollywoodien au bon sens du terme. Le cirque des années 1930 fournit un décor exotique et impitoyable, où animaux et hommes se retrouvent confrontés à la même violence.
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Mélodrame flamboyant .
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Mis en scène avec efficacité par le chevronné Francis Lawrence, cette fresque romanesque qui renoue avec les grands divertissements hollywoodiens des années 1950 a l'intelligence de nous parler de tout sauf du cirque de notre enfance.
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Les lourdeurs romanesques du grand spectacle cachent de beaux détails, (…) le trio d’acteurs – Christoph Waltz, Robert Pattinson et Reese Witherspoon – se prend au jeu en dépit de la curiosité de l’assemblage.
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Une fresque généreuse et réussie, mise en scène avec efficacité par le réalisateur de Je suis une légende. Mention spéciale pour Robert Pattinson, convaincant en apprenti vétérinaire, affolé par l'éblouissante beauté de Reese Witherspoon.
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Si vous êtes d’humeur pour un bon vieux mélo comme on n’en fait plus, ma foi, pourquoi vous priver ? (...) L’ensemble est cousu de fil blanc, mais pas dépourvu d’un certain charme suranné.
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L’adaptation manque d ‘épaisseur, et la mise en scène cruellement d’émotion. À part les séquences avec Rosie, la femelle pachyderme qu’il bichonne comme un bébé labrador, le jeune Jacob ( Robert Pattinson), en courageux orphelin, semble ballotté de scène en scène. On aurait aimé qu’il ait les crocs plus aiguisés.
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Visuellement, on n’est pas déçu par ce film particulièrement soigné. (…) L’histoire est ici racontée avec une désolante froideur. Du coup, le charme n’opère pas.
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Rarement abordé par le 7ème art, l'univers des chapiteaux d'antan est soigneusement reconstitué, mais l'ensemble manque de souffle et s'avère bien trop lisse pour nous faire vibrer.
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Dans le drame romanesque, une réussite indéniable portée par une photographie somptueuse et le charisme de ses interprètes. A réserver toutefois au public féminin qui devrait être plus conciliant avec la lenteur surannée du récit.
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La romance à grand spectacle plante son chapiteau dans les années 1930 : mièvrerie sépia et voltige sentimentale calibrée. Quelques morceaux de bravoure ne suffisent pas à dépasser l’académisme.