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Après Bye bye Africa et Abouna, débuts très prometteurs, Mahamat-Saleh Haroun signe un film remarquable (prix spécial du jury à Venise). Sans être ni illustratif ni décoratif, il nous plonge dans l’Afrique d’aujourd’hui, sa pauvreté, sa dureté, son irrépressible légèreté aussi. (…) Il y a de la parabole dans Daratt, pourtant ancré dans une réalité concrète et palpable à l’image.
Toutes les critiques de Daratt (saison sèche)
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Loin de tout exotisme, Mahamat-Saleh Haroun, élabore une fable morale et teintée d’humour (…) dont la violence contenue s’intensifie avec la durée, avant de précipiter un dénouement inattendu, mais qui dégage l’horizon pour les jeunes tchadiens en 2007.