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Un jeune surfeur californien tente un ride sur une vague légendaire. Il se fait aider par un voisin (Gerard Butler), qui lui sert accessoirement de père de substitution. C’est donc à un film de passage à l’âge adulte que nous convie Curtis Hanson, remplacé en fin de tournage par Michael Apted pour raisons de santé. À part quelques maladresses (dialogues raides pas toujours rattrapés par les acteurs), on trouve de quoi se laisser séduire : contexte californien, imagerie iconique, musique cool. L’histoire est vraie, mais le personnage est déjà une légende.
Toutes les critiques de Chasing Mavericks
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Un récit initiatique (...) parfois maladroit, mais sincère et sensible, avec un Gerard Butler paternel et touchant.
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L’univers du surf est un thème enchanteur qui permet de dissimuler la pauvreté du scénario et la lamentable performance du protagoniste, on reste captivé par la beauté des paysages de la côte Californienne
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Dans Chasing Mavericks, Curtis Hanson et Michael Apted revisitent les clichés des films de surfeurs avec davantage de modestie et d’humanité. Le film est inspiré d’une histoire vraie, celle du jeune Jay Moriarty, prodige du surf, devenu rapidement célèbre pour avoir survécu à l’une des plus monstrueuses vagues de l’histoire.
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Un film familial d’une fadeur exaspérante.
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Un lot de banalités heureusement sublimées par des images grandioses de resssa. Hélas les fans de Patrick Swayze dans l'inoubliable Point Break risquent de rester sur leur faim, tant le suspense et la magie font ici, cruellement défaut.
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Les plans du film mettent très bien en valeur la beauté et la violence des vagues, tout leur charme crève l’écran.
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Cette initiation et cette aventure humaine sont filmées par deux spécialistes du genre, Curtis Hanson (“8 Mile”) et Michael Apted (“Le Monde de Narnia”, “Rome”), qui nous livrent ici une sorte de “8 Mile” du surf où Eminem serait remplacé par Kelly Slater. Si le film n’évite malheureusement pas les clichés, il nous rafraîchit sous trois tonnes d’eau.
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Un récit initiatique très classique, heureusement rythmé par de jolies séquences de glisse qui devraient réjouir les amoureux du surf.
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Un effort illogique de la part des réalisateurs Hanson et Apted.
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Le spectacle des vagues est vraiment épique mais malheureusement la créativité de ce scénario autobiographique s’arrête là.
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Toutes les intrigues sont prévisibles et le scénario couru d’avance mais au moins, les vagues majestueuses de la côte Californienne nous réconfortent.
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Ni Curtis Hanson, ni son remplaçant Michael Apted ,qui l’a remplacé lorsqu’il est tombé malade n’ont su aller plus loin que ce scénario à l’eau de rose.
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Ce mélodrame sirupeux a tendance à gâcher certaines séquences qui sont justement bien plus intéressantes et exaltantes, par conséquent le film reste au final ennuyeux.
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« Chasing Maverick » évolue aussi lentement qu’un joggeur qui ferait son footing avec de l’eau jusqu’à la taille, on se fatigue vite !
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John Milius peut dormir tranquille. Son Big wednesday reste de loin la référence du film de surf.Curtis Hanson et Michael Apted ne réussissent qu’à enfiler poncifs et clichés durant près de deux longues heures.
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Entre les leçons de vie pour élève de 4ème et la romance naïve avec une jolie naïade, le film ne fait que surfer sur des vagues de clichés.
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Michael Apted, réalisateur d'un bon James Bond ("Le monde ne suffit pas"), s'est associé à Curtis Hanson ("L.A. Confidential") pour signer un biopic sur un jeune prodige du surf. Hélas, le talentueux tandem n'accouche que de banales images de surf. Quant au scénario, il enfile les poncifs de la comédie d'apprentissage hollywoodienne.
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A voir cette succession de séquences préfabriquées, on a peine à croire que deux réalisateurs chevronnés – Curtis Hanson, qui n'a pu achever le film pour raisons de santé, et Michael Apted – se sont succédé derrière la caméra. On devine que la banalité insipide du scénario et de la mise en scène a plus à voir avec la firme qui a produit Chasing Mavericks qu'avec la personnalité de ceux qui l'ont écrit, réalisé et interprété.
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Un paradigme de film initiatique (inspiré de faits réels comme il se doit désormais) avec ses très morales têtes de chapitres (dépassement de soi, ce qui ne te tue pas te rend plus fort, la famille avant tout…). En revanche, les images de surf sont magnifiques. Mais c’était le minimum requis.