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Cendrillon et le Prince (pas trop) charmant, film d’animation de Paul J. Bolger, hanté par Shrek, revisite les contes de fées. La belle-mère est toujours méchante, Cendrillon carrément gironde, le prince nul, mais son majordome sexy! Marrant.
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Très (trop) peu de temps après un chaperon rebelle, des nains-phomanes et un rat cynique, voilà qu’on nous ressert un melting-pot de toutes les histoires enfantines. Il faudrait songer à juguler la production à la chaîne de films d’animation détournant les contes de fées. Dans la mouture de cette semaine, on crie fort et on s’agite bêtement pour couvrir le manque de rythme et d’originalité. Courage, Shrek 3 arrive en juin !
Toutes les critiques de Cendrillon Et Le Prince (Pas Trop) Charmant
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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N’est pas Shrek qui veut. Malheureusement pour Cendrillon et le prince (pas trop) charmant, il était difficile de faire mieux que son illustre modèle. Côté scénario, il faut bien avouer qu’on flirte allègrement avec la mièvrerie même si certains personnages comme les sept nains mercenaires et le cousin Tracassin parviennent à nous arracher quelques sourires. Si les enfants prendront sans doute plaisir à découvrir autrement les contes des Frères Grimm, les adultes attendront, quant à eux, patiemment la sortie de Shrek 3.
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Depuis le divin Shrek, le détournement déjantéde la mythologie des contes de fées a fait florès. Hélas, pas toujours pour le meilleur. Ici, on évite le pire de justesse. Faute d’humour et d’imagination, l’esprit festif n’y est pas.
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Ce film d'animation en 3D des studios Vanguard prône le décalé et l'irrévérence. Les dialogues, au verbe familier, et les facéties burlesques des personnages séduiront les plus jeunes. Les autres s'ennuieront ferme devant cette histoire ni très drôle ni très originale.