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Avec cette fresque pleine d’action, de larmes et de nostalgie sur les liens passionnels qui unissent pieds-noirs et Algériens, Arcady lorgnait vers Il était une fois en Amérique. Le problème, c’est que le réalisateur du Grand Pardon est à Sergio Leone ce que Richard Clayderman est à Mozart. En témoigne ce nanar besogneux, étouffant de lyrisme grumeleux, qui bascule au bout de trois plans dans une parodie involontaire de saga estivale très très longue, mais aussi très très poilante – surtout les scènes avec Anne Parillaud, en Milf (Mother I’d Like to Fuck) sexy.
Toutes les critiques de Ce que le jour doit à la nuit
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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"Ce que le jour doit à la nuit" est une fresque monumentale dans tous les sens du terme.
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Si le récit, adapté du roman de Yasmina Khadra, articule avec lourdeur l’intime et l’épique, la mise en scène d’Alexandre Arcady retrouve (enfin) ce souffle épique dont il est capable
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Le roman est de Yasmina Khadra. Les cadrages d'Alexandre Arcady. Un mélodrame donc. Où le violon récite les mots.
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Sur fond de colonialisme, de soleil, d’attentats, d’amitié, de trahison, Arcady signe une longue fresque (2h39) romanesque bien trop grandiloquente avec ses sentiments qui débordent de partout et une romance inaboutie qui laisse le spectateur agacé. L’interprétation de Fu’Ad Aït Aattou (Younes adulte) sonne malheureusement faux durant tout le film. Ça fleure un cinéma suranné, mais pas désagréable. Bien sûr, la talentueuse Nora Arnezeder éclaire l’écran mais cela ne suffit pas à nous convaincre.
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Une fresque romanesque algérienne sagement illustrée.
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Le propos, exposé sans guère de nuances ni de subtilités, se noie dans les débordements d'une mise en scène ampoulée et surlignée. (...) Une fresque interminable.
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Une tentative d'Il était une fois en Algérie luxueuse et indéniablement sincère, mais plombée par une emphase, une naïveté et une musique (une note par image au minimum) assommantes.
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Sur plusieurs décennies, cette saga nous entraîne dans un tourbillon d'histoires d'amour cachées, de secrets et d'amitiés trahies. Mais le jeu transparent de certains acteurs nuit au souffle épique voulu. Dommage.