Toutes les critiques de Beast

Les critiques de Première

  1. Première
    par Thierry Chèze

    Peu de temps après la mort de sa femme d’une grave maladie, le Docteur Nate Daniels (Idris Elba, impeccable) revient passer des vacances avec ses deux filles dans le pays où il l’avait rencontrée, l’Afrique du Sud, afin de resserrer des liens abimés. Voilà pour le point de départ du nouveau long métrage de Baltasar Kormàkur à la mise en place un peu longuette pour arriver à l’essentiel. Au cœur de son récit. Et au fond à la seule raison d’aller le découvrir. Les face à face successifs, au cœur d’une réserve naturelle, entre cette famille et un lion assoiffé de vengeance après le massacre de sa tribu par une bande de braconniers sanguinaires. Ce côté survival dans la jungle tient toutes ses promesses par sa tension, sa mise en scène sans chichi (le réalisateur d’Everest sait faire des univers hostiles ses terrains de jeu favoris) et la qualité des CGI. Si bien qu’on aurait rêvé d’un film plus radical uniquement centré sur ces combats à la vie à la mort. Mais hélas il faut se coltiner le scénario de Ryan Engle (Non- stop), dégoulinant de bons sentiments autour de ces retrouvailles familiales dont on voit toutes les ficelles qui vont conduire à la réconciliation et dénonciateur lourdaud des atrocités commises par les braconniers. Trop de blabla pour ne pas nuire au résultat.

  2. Première
    par Thierry Chèze

    Peu de temps après la mort de sa femme d’une grave maladie, le Docteur Nate Daniels (Idris Elba, impeccable) revient passer des vacances avec ses deux filles dans le pays où il l’avait rencontrée, l’Afrique du Sud, afin de resserrer des liens abimés. Voilà pour le point de départ du nouveau long métrage de Baltasar Kormàkur à la mise en place un peu longuette pour arriver à l’essentiel. Au cœur de son récit. Et au fond à la seule raison d’aller le découvrir. Les face à face successifs, au cœur d’une réserve naturelle, entre cette famille et un lion assoiffé de vengeance après le massacre de sa tribu par une bande de braconniers sanguinaires. Ce côté survival dans la jungle tient toutes ses promesses par sa tension, sa mise en scène sans chichi (le réalisateur d’Everest sait faire des univers hostiles ses terrains de jeu favoris) et la qualité des CGI. Si bien qu’on aurait rêvé d’un film plus radical uniquement centré sur ces combats à la vie à la mort. Mais hélas il faut se coltiner le scénario de Ryan Engle (Non- stop), dégoulinant de bons sentiments autour de ces retrouvailles familiales dont on voit toutes les ficelles qui vont conduire à la réconciliation et dénonciateur lourdaud des atrocités commises par les braconniers. Trop de blabla pour ne pas nuire au résultat.

  3. Première
    par Thierry Chèze

    Peu de temps après la mort de sa femme d’une grave maladie, le Docteur Nate Daniels (Idris Elba, impeccable) revient passer des vacances avec ses deux filles dans le pays où il l’avait rencontrée, l’Afrique du Sud, afin de resserrer des liens abimés. Voilà pour le point de départ du nouveau long métrage de Baltasar Kormàkur à la mise en place un peu longuette pour arriver à l’essentiel. Au cœur de son récit. Et au fond à la seule raison d’aller le découvrir. Les face à face successifs, au cœur d’une réserve naturelle, entre cette famille et un lion assoiffé de vengeance après le massacre de sa tribu par une bande de braconniers sanguinaires. Ce côté survival dans la jungle tient toutes ses promesses par sa tension, sa mise en scène sans chichi (le réalisateur d’Everest sait faire des univers hostiles ses terrains de jeu favoris) et la qualité des CGI. Si bien qu’on aurait rêvé d’un film plus radical uniquement centré sur ces combats à la vie à la mort. Mais hélas il faut se coltiner le scénario de Ryan Engle (Non- stop), dégoulinant de bons sentiments autour de ces retrouvailles familiales dont on voit toutes les ficelles qui vont conduire à la réconciliation et dénonciateur lourdaud des atrocités commises par les braconniers. Trop de blabla pour ne pas nuire au résultat.

  4. Première
    par Thierry Chèze

    Peu de temps après la mort de sa femme d’une grave maladie, le Docteur Nate Daniels (Idris Elba, impeccable) revient passer des vacances avec ses deux filles dans le pays où il l’avait rencontrée, l’Afrique du Sud, afin de resserrer des liens abimés. Voilà pour le point de départ du nouveau long métrage de Baltasar Kormàkur à la mise en place un peu longuette pour arriver à l’essentiel. Au cœur de son récit. Et au fond à la seule raison d’aller le découvrir. Les face à face successifs, au cœur d’une réserve naturelle, entre cette famille et un lion assoiffé de vengeance après le massacre de sa tribu par une bande de braconniers sanguinaires. Ce côté survival dans la jungle tient toutes ses promesses par sa tension, sa mise en scène sans chichi (le réalisateur d’Everest sait faire des univers hostiles ses terrains de jeu favoris) et la qualité des CGI. Si bien qu’on aurait rêvé d’un film plus radical uniquement centré sur ces combats à la vie à la mort. Mais hélas il faut se coltiner le scénario de Ryan Engle (Non- stop), dégoulinant de bons sentiments autour de ces retrouvailles familiales dont on voit toutes les ficelles qui vont conduire à la réconciliation et dénonciateur lourdaud des atrocités commises par les braconniers. Trop de blabla pour ne pas nuire au résultat.

  5. Première
    par Thierry Chèze

    Peu de temps après la mort de sa femme d’une grave maladie, le Docteur Nate Daniels (Idris Elba, impeccable) revient passer des vacances avec ses deux filles dans le pays où il l’avait rencontrée, l’Afrique du Sud, afin de resserrer des liens abimés. Voilà pour le point de départ du nouveau long métrage de Baltasar Kormàkur à la mise en place un peu longuette pour arriver à l’essentiel. Au cœur de son récit. Et au fond à la seule raison d’aller le découvrir. Les face à face successifs, au cœur d’une réserve naturelle, entre cette famille et un lion assoiffé de vengeance après le massacre de sa tribu par une bande de braconniers sanguinaires. Ce côté survival dans la jungle tient toutes ses promesses par sa tension, sa mise en scène sans chichi (le réalisateur d’Everest sait faire des univers hostiles ses terrains de jeu favoris) et la qualité des CGI. Si bien qu’on aurait rêvé d’un film plus radical uniquement centré sur ces combats à la vie à la mort. Mais hélas il faut se coltiner le scénario de Ryan Engle (Non- stop), dégoulinant de bons sentiments autour de ces retrouvailles familiales dont on voit toutes les ficelles qui vont conduire à la réconciliation et dénonciateur lourdaud des atrocités commises par les braconniers. Trop de blabla pour ne pas nuire au résultat.