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Casting de rêve pour cette quatrième fiction écrite et réalisée par John Turturro. Ce dernier joue les gigolos sous la houlette d’un ami reconverti
en mac d’occasion (Woody Allen) et fait le bonheur de femmes très différentes (de Sharon Stone à Vanessa Paradis en passant par Sofia Vergara !). Les images du quartier hassidique de Brooklyn sont étonnantes. Mais, malgré quelques répliques bien senties et de jolis moments, le scénario peine à rebondir vers la comédie et se perd en conflits artificiels.
Toutes les critiques de Apprenti Gigolo
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Woody Allen profite de ce film pour lancer un cri d’amour à sa ville, New York, qu’il filme avec une passion communicative.
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Le film le plus convaincant que Turturro n’ait jamais réalisé et une de ses plus douces performances, même si certains moments sont parfois brouillons, il prend une place si particulière qu’on s’en moque.
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John Turturro amène ce sujet avec sensibilité et pertinence alors qu’il aurait pu prendre une autre tournure.
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Turturro est un excellent auteur mais on reconnait tout de même la patte d’Allen, il s’est largement inspiré de ses films.
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Turturro a donné à Allen sa meilleure apparition sur grand écran depuis bien longtemps. Une grande partie a été écrite pour lui.
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L'acteur fétiche des Frères Coen signe une comédie pleine de délicatesse (...), sur un thème pourtant périlleux.
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Survitaminé à l’humour juif new-yorkais, le film évite l’écueil du graveleux pour dessiner le portrait sentimental d’un homme foncièrement bon qui sait, à l’instar des charmeurs de serpents, séduire les femmes.
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Les infinies variations loufoques nous entraînent dès le début dans une escalade (...). Le duo (Turturo et Allen) n'échappe pas aux volets d'actualité telle la crise économique ou la fin de l'insalubrité américaine. On aimerait les revoir (...)
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Un brin désuet mais charmant.
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« Apprenti Gigolo » est un film totalement inoffensif bien que le sujet le soit.
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Le film patine dans une intrigue où débarque une veuve juive orthodoxe, alors que la chronique amusée lui allait mieux. C'est dommage. Mais si John Turturro pouvait donner des nouvelles plus souvent, ce serait bien. Merci.
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En cherchant à tout prix à se montrer sensible et spirituel, “Apprenti gigolo” perd en efficacité et désoriente parfois le spectateur.
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Un regard modeste, parfois drôle et même touchant sur une bande de New Yorkais.
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Bien qu’inégale d’un point de vue scénaristique, cette comédie douce-amère possède ce qu’il faut de charme et d’éclat pour offrir au spectateur un moment plaisant.
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Dommage que le scénario se perde un peu en route, car le duo inédit des deux acteurs fonctionne à merveille !
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La malice et la délicatesse du duo que forment John Turturro et Woody Allen débouchent sur une comédie agréable, parfois surprenante et sexy en diable. Quant à Vanessa Paradis en flamme éteinte doublement courtisée, elle est tout simplement étonnante. On peut se laisser séduire par cet Apprenti gigolo.
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Apprenti gigolo est une classique mais séduisante rom-com qui emprunte son sujet à la série Hung et son atmosphère jazz à la tradition des comédies new-yorkaises, louchant très fort du côté de Woody Allen – ici gratifié d’un second rôle assez tordant de pimp libidineux.
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Si le scénario a ses limites, cette comédie "brooklynesque" en diable, très estampillée cinéma indépendant, est teintée d'humour et scandée par le bavardage de Woody Allen, exactement comme on le préfère.
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Vanessa Paradis, en veuve hassidim, on y croit moyen. Pour le reste, c'est plaisant, gentiment immoral, spirituel comme une (petite) comédie à la Woody Allen.
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Un plan tordu certes, pour un film parfois poussif, mais qui permet de croiser John Turturro en gigolo amateur, Sharon Stone en cliente épanouie, Vanessa Paradis en veuve fragile, et surtout Woody Allen en mac d’opérette dans l’un de ses grands numéros d’acteur qui nous manquent tant.
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Mausolée peuplé de morts-vivants, Apprenti gigolo parvient néanmoins à sortir de son apathie dépressive à l’issue d’une scène de procès hassidim où l’intrigue se dénoue dans une atmosphère d’enterrement.
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Un projet effronté et orgueilleux.
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L'hommage de l'élève au maître est clair, le casting classe. Il manque juste un scénario mieux écrit et une vraie direction d'acteurs. Au final, un film sympathique, mais un peu léger.
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Turturro a juste oublié le principal : l’esprit. Chaque trait d’humour, ici, pèse une tonne. Et la fable, qui se veut légère et fantaisiste, est juste artificielle et ringarde.
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Une comédie bavarde et poussive.
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Une bluette pudique sur l'amour tarifé réalisée par John Turturro en hommage à Woody Allen.
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Cette molle comédie, au scénario faiblard, ne brille que par l'interprétation de Vanessa Paradis, jeune veuve mélancolique.
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Sans tempo la mécanique du rire se grippe au profit d'une mécanique du pire.