Toutes les critiques de Amours, larcins et autres complications

Les critiques de Première

  1. Première
    par Damien Leblanc

    Un trentenaire palestinien, égoïste et pas patriote pour un sou, vole une voiture afin de s’acheter un visa qui lui permettra de quitter la région. Quand il découvre, dans le coffre, un soldat israélien kidnappé (et tout aussi empoté que lui), il se retrouve pris dans un imbroglio à l’issue incertaine. Avec son noir et blanc visant la déréalisation et sa bande-son jazzy, ce thriller, financé de manière indépendante, cherche à ouvrir une brèche iconoclaste dans le cinéma palestinien. Si l’humour peine à faire mouche et que la narration éclatée retombe difficilement sur ses pieds, la voix de ce jeune cinéaste séduit par sa vitalité.

Les critiques de la Presse

  1. Les Inrocks
    par Vincent Ostria

    C’est un miracle de drôlerie totalement azimutée, dont la caractéristique majeure est l’art de ne jamais rien appuyer, de filmer sur la pointe des pieds, en plan large et souvent en plan-séquence, des situations aussi inextricables qu’inénarrables.

  2. Les Inrocks
    par Vincent Ostria

    C’est un miracle de drôlerie totalement azimutée, dont la caractéristique majeure est l’art de ne jamais rien appuyer, de filmer sur la pointe des pieds, en plan large et souvent en plan-séquence, des situations aussi inextricables qu’inénarrables.

  3. Le Monde
    par Thomas Sotinel

    Plus qu’à son tempo dont on a déjà relevé l’irrégularité, la force comique d’"Amours, larcins et autres complications" tient à la rigueur avec lequel le scénario et la mise en scène développent l’absurdité de chaque situation.

  4. Le Monde
    par Thomas Sotinel

    Plus qu’à son tempo dont on a déjà relevé l’irrégularité, la force comique d’Amour, larcins et autres complications tient à la rigueur avec lequel le scénario et la mise en scène développent l’absurdité de chaque situation. 

  5. Nouvel Obs
    par La rédaction de Nouvel Obs

    Ce premier film de Muayad Alayan, petite pépite d’humour noir, c’est Kafka à Gaza. Gai, triste et réussi.

  6. Nouvel Obs
    par La rédaction du Nouvel Obs

     Ce premier film de Muayad Alayan, petite pépite d’humour noir, c’est Kafka à Gaza. Gai, triste et réussi.

  7. Télérama
    par Guillemette Odicino

    Des maladresses dans ce petit film palestinien autoproduit, mais aussi un beau noir et blanc et des airs de ­tragi-comédie à l'italienne.

  8. Télérama
    par Guillemette Odicino

    Des maladresses dans ce petit film palestinien autoproduit, mais aussi un beau noir et blanc et des airs de ­tragi-comédie à l'italienne.

  9. StudioCiné Live
    par Véronique Trouillet

    Cette comédie (...) ne trouve jamais le bon ton. Et ne génère guère plus de rires que d'émotions.

  10. StudioCiné Live
    par Véronique Trouillet

    Cette comédie (...) ne trouve jamais le bon ton. Et ne génère guère plus de rires que d'émotions.