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Un trentenaire palestinien, égoïste et pas patriote pour un sou, vole une voiture afin de s’acheter un visa qui lui permettra de quitter la région. Quand il découvre, dans le coffre, un soldat israélien kidnappé (et tout aussi empoté que lui), il se retrouve pris dans un imbroglio à l’issue incertaine. Avec son noir et blanc visant la déréalisation et sa bande-son jazzy, ce thriller, financé de manière indépendante, cherche à ouvrir une brèche iconoclaste dans le cinéma palestinien. Si l’humour peine à faire mouche et que la narration éclatée retombe difficilement sur ses pieds, la voix de ce jeune cinéaste séduit par sa vitalité.
Toutes les critiques de Amours, larcins et autres complications
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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C’est un miracle de drôlerie totalement azimutée, dont la caractéristique majeure est l’art de ne jamais rien appuyer, de filmer sur la pointe des pieds, en plan large et souvent en plan-séquence, des situations aussi inextricables qu’inénarrables.
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C’est un miracle de drôlerie totalement azimutée, dont la caractéristique majeure est l’art de ne jamais rien appuyer, de filmer sur la pointe des pieds, en plan large et souvent en plan-séquence, des situations aussi inextricables qu’inénarrables.
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Plus qu’à son tempo dont on a déjà relevé l’irrégularité, la force comique d’"Amours, larcins et autres complications" tient à la rigueur avec lequel le scénario et la mise en scène développent l’absurdité de chaque situation.
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Plus qu’à son tempo dont on a déjà relevé l’irrégularité, la force comique d’Amour, larcins et autres complications tient à la rigueur avec lequel le scénario et la mise en scène développent l’absurdité de chaque situation.
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Ce premier film de Muayad Alayan, petite pépite d’humour noir, c’est Kafka à Gaza. Gai, triste et réussi.
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Ce premier film de Muayad Alayan, petite pépite d’humour noir, c’est Kafka à Gaza. Gai, triste et réussi.
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Des maladresses dans ce petit film palestinien autoproduit, mais aussi un beau noir et blanc et des airs de tragi-comédie à l'italienne.
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Des maladresses dans ce petit film palestinien autoproduit, mais aussi un beau noir et blanc et des airs de tragi-comédie à l'italienne.
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Cette comédie (...) ne trouve jamais le bon ton. Et ne génère guère plus de rires que d'émotions.
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Cette comédie (...) ne trouve jamais le bon ton. Et ne génère guère plus de rires que d'émotions.