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On sait après avoir vu ses films précédents, que Weitz n'est pas un méchant. Le voir se frotter à la satire est à peu près aussi gênant que d'observer un asthmatique préparer le marathon de Paris : quelque chose nous dit qu'il ne terminera pas la course (...) Tel quel, American Dreamz est un chat d'appartement qui joue sans sortir les griffes. Attachant mais inoffensif.