Toutes les critiques de Allende mon grand-père

Les critiques de Première

  1. Première
    par Isabelle Danel

    Ce n’est pas qu’on en apprenne beaucoup sur le président socialiste chilien renversé par un coup d’État en 1973 (et lâchement assassiné), mais cette quête en forme de journal intime filmé fait exister l’homme. Sa petite-fille signe ici son premier long métrage, elle brise le silence et, cherchant à replacer son aïeul au centre de l’album familial (mari, père...), captive et émeut. 

Les critiques de la Presse

  1. StudioCiné Live
    par Thomas Baurez

    Marcia Tambutti mène sa barque à contre-courant et parvient, à force d'obstination, à isoler des regards, à donner toute leur portée aux silences, et révèle peu à peu les drames qui ont construit son identité. 

  2. A voir à lire
    par Nicolas Bonnes

    (...) un émouvant voyage aux thématiques universelles qui ne devrait laisser personne insensible. 

  3. Nouvel Obs
    par La rédaction du Nouvel Obs

    De ce récit se dégagent une mélancolie poignante, un sentiment d’injustice terrible : les scènes où la réalisatrice parle avec sa grand-mère (disparue en 2009) sont très émouvantes. 

  4. Critikat.com
    par François Giraud

    En plus de sa dimension historique, le film est un document très personnel, modeste dans la forme, qui doit beaucoup à l’engagement à la fois simple et sincère de la réalisatrice devant la caméra.

  5. La Croix
    par Arnaud Schwartz

    Une prouesse de sensibilité, de pudeur, de détermination, où le spectateur voit sous ses yeux, pas à pas, une famille surmonter enfin l’épreuve de son passé pour mieux s’ancrer dans le présent, avec mille nuances pour chacun de ses membres. 

  6. Télérama
    par Cécile Mury

     Cette attachante enquête intime questionne moins la grande histoire que ses effets secondaires sur une famille, d'une génération à l'autre.

  7. Le Monde
    par Jacques Mandelbaum

    De cette violence faite à un homme si profondément aimé par les siens, mais aussi par une partie de la nation chilienne, ce film tire un paradoxe familial : la douloureuse réticence à évoquer son souvenir, contre laquelle le film-même tente, non sans mal mais avec probité, de se construire.
     

  8. Elle
    par Jean-François Demay

    Un film à voir plus en tant que document psychologique qu’historique.