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1916. Quand son frère aîné disparaît, Adama, jeune Africain, décide d’aller le chercher au-delà du "Monde des souffles". Son périple le mènera jusqu’aux tranchées françaises. Ce film d’animation ne ressemble à rien de connu, Simon Rouby mélangeant techniques traditionnelles et scans numériques pour donner l’illusion que des sculptures en terre cuite se mettent en mouvement. Le rendu, moins fluide que la 3D de Pixar, est proche du stop motion. Il s’en dégage un naturalisme poétique qui culmine dans les scènes de guerre, où l’horreur le dispute aux croyances tribales. Et Rouby d’évoquer le cas de ces étrangers morts héroïquement pour la France.
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1916. Quand son frère aîné disparaît, Adama, jeune Africain, décide d’aller le chercher au-delà du "Monde des souffles". Son périple le mènera jusqu’aux tranchées françaises. Ce film d’animation ne ressemble à rien de connu, Simon Rouby mélangeant techniques traditionnelles et scans numériques pour donner l’illusion que des sculptures en terre cuite se mettent en mouvement. Le rendu, moins fluide que la 3D de Pixar, est proche du stop motion. Il s’en dégage un naturalisme poétique qui culmine dans les scènes de guerre, où l’horreur le dispute aux croyances tribales. Et Rouby d’évoquer le cas de ces étrangers morts héroïquement pour la France.
Toutes les critiques de Adama
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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lLs images qui naissent de l’étonnant métissage technique qui charpente "Adama" lui donnent une vigueur et une modernité dignes des plus grands films de guerre et des plus vibrants appels à la paix.
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On sort du film bouleversé, après avoir assisté à un spectacle d'une beauté époustouflante.
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Les images qui naissent de l’étonnant métissage technique qui charpente Adama lui donnent une vigueur et une modernité dignes des plus grands films de guerre et des plus vibrants appels à la paix.
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On sort du film bouleversé, après avoir assisté à un spectacle d'une beauté époustouflante.
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Joli, instructif et touchant.
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Avec "Adama", Simon Rouby innove en livrant un film d’animation aussi puissant qu’original (...)
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Joli, instructif et touchant.
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Avec Adama, Simon Rouby innove en livrant un film d’animation aussi puissant qu’original (...)
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Ce voyage initiatique (...) fleure bon la spiritualité, mais souffre d'un personnage trop froid et de techniques d'animation laissant dubitatif.
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Ce voyage initiatique (...) fleure bon la spiritualité, mais souffre d'un personnage trop froid et de techniques d'animation laissant dubitatif.
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A force de vouloir trop en dire, la fresque, ambitieuse, ne fait qu'effleurer ses sujets. Même la 3D luxueuse ne parvient pas à donner du relief aux émotions et aux personnages.
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Ode à la fraternité, éloge au courage et à la résistance face à l’adversité, bannière pacifiste, revalorisation des traditions, promotion du multiculturalisme : "Adama" veut abolir les frontières et être sur tous les fronts, au risque de perdre de son identité et de sa force.
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Sans parler du scénario, ambitieux mais réducteur, cette histoire jamais drôle ni réellement enfantine lasse à cause de la qualité de son animation, saccadée, transformant chaque protagoniste en androïde à court de batterie.
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A force de vouloir trop en dire, la fresque, ambitieuse, ne fait qu'effleurer ses sujets. Même la 3D luxueuse ne parvient pas à donner du relief aux émotions et aux personnages.
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Ode à la fraternité, éloge au courage et à la résistance face à l’adversité, bannière pacifiste, revalorisation des traditions, promotion du multiculturalisme : Adama veut abolir les frontières et être sur tous les fronts, au risque de perdre de son identité et de sa force.
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Sans parler du scénario, ambitieux mais réducteur, cette histoire jamais drôle ni réellement enfantine lasse à cause de la qualité de son animation, saccadée, transformant chaque protagoniste en androïde à court de batterie.