Struck

Avec son horrible éclair jaune et le slogan « Retrouvez l’acteur de Glee au cinéma », l’affiche fait craindre le pire. Mais à l’arrivée, bonne surprise : ce teen movie est pourvu d’un cerveau ! Struck transforme le très cabot Chris Colfer en lycéen passionné par l’écriture et le journalisme, qui cherche par tous les moyens à persuader ses camarades de s’impliquer dans l’élaboration du journal de l’école. Un personnage bien moins lisse qu’il n’y paraît, des mitraillades de dialogues bien sentis, une amertume inattendue vu le contexte...Touché !

une comédie qui dynamite les conventions du film pour adolescents.

Ce film laisse présage un meilleur avenir pour Colfer que pour Carson.

Un long-métrage certes maladroit mais loin d'être dénué de charme.

Si « Struck » avait eu une perspective plus forte et aiguisée, le concept aurait été beaucoup plus pertinent.

Chris Colfer nous prouve qu’à 22 ans, il peut tenir un film avec brio et toupet.

De jolis talents ressortent de cette courte aventure.

Ce film se place au dessus de la norme puisqu’il nous démontre bien que chacun veut sortir de son nid et voler haut dans le ciel mais à la finalité seulement très peu y arrivent.

Le réalisateur maîtrise tous les codes pour ne pas sacrifier cette chronique sardonique sur l’autel de la teen comédie qui minaude. Bref, tout cela vaut bien mieux que Glee...

Du fait de sa popularité toute entière due à son rôle dans Glee, Chris Colfer supporte ce Struck sur ses seules épaules d’acteur-scénariste. Cela pourrait faire du film un simple caprice de star : si le film prête le flanc aux critiques d’un strict point de vue formel, la candeur délicate de son approche de l’adolescence en fait un projet touchant et étonnant.

Colfer est peut être encore très jeune mais il doit apprendre qu’être « méprisant » n’est pas un point de vue.

Malgré quelques bonnes idées, "Struck" ne convainc pas : ni vraiment drôle, ni très profond, et pas du tout attachant.

A part la mère monstrueuse Mme Janney et la grand-mère sénile Polly Bergen, ce film ne donne aucune dimension à ses personnages.

Il n’y a pas grand-chose à dire sur « Struck », encore un film qu’on aura très vite oublié.

On ne peut pas reprocher à Colfer de vouloir se diversifier mais son personnage n’est ni un héros ni un méchant et cette comédie à humour noir n’est ni drôle ni sombre.

Par moment, ce film peut être charmant mais il reste complexe et concentré sur ses métaphores obsessionnelles.

Discrédité par des analyses fumantes qui relèvent de la théorie du complot, Room 237 est une véritable parodie d’analyse filmique. Les enseignants en fac de cinéma vont faire grise mine.

Rythmé et filmé comme une série TV indé, Struck se révèle aussi sage qu'inutilement tragique. Avec cet incontournable credo pour teen en boutons: croire en ses rêves, c'est beau. Aussi inoffensif que dispensable.

Instantané faussement décalé mais vraiment insipide de ciné indé, trop occupé à se croire intéressant pour réellement l’être. Chris Colfer, star, producteur et scénariste, devra user de plus de force et finesse pour se faire une place dans le paysage.

Un alignement de répliques faussement spirituelles ne suffit pas pour nous intéresser à ce personnage de lycéen arrogant qui use du chantage pour obliger ses camarades, tous stéréotypés, à participer à son magazine littéraire.