Toutes les critiques de Destination Love

Les critiques de Première

  1. Première
    par Renan Cros

    Poussée par ses amis, Montana, hôtesse de l’air et éternelle célibataire, s’embarque dans un marathon amoureux pour trouver la perle rare. De la musique soul aux vibes langoureuses à la bonne copine rigolote, en passant par l’inévitable steward gay, Destination Love ne lésine pas sur les clichés, à l’image de son titre. Si, pendant un temps, la midinette qui sommeille en chacun de nous peut se satisfaire de ce Sex and the City Airlines, l’accumulation des poncifs, jusqu’à l’inépuisable « prince charmant de proximité », finit par agacer et empêche cette comédie de décoller.

Les critiques de la Presse

  1. Film.com
    par Laremy Legel

    Il y a peu de chances de retrouver de la romance ou du réalisme mais l’humour est bien présent.

  2. Washington Post
    par Ann Hornaday

    « Destination love » contourne largement notre intellect, on retrouve une part de satisfaction mais à un degré de bêtise élevé.

  3. Seattle Times
    par Soren Anderson

    Une comédie romantique très cliché.

  4. Version Femina
    par Florence Roman

    Taye Diggs, Djimon Hounsou ou encore Derek Luke jouent des coudes pour montrer leurs abdos et leurs belles gueules dans cette comédie romantique pour une fois très chocolat.

  5. RogerEbert.com
    par Christy Lemire

    Très archaïque sur son portrait de la femme, plutôt insultant, ce film aurait dû sortir en 1963 et pas en 2013.

  6. Newark Star-Ledger
    par Stephen Whitty

    Une romance douloureusement prévisible et une comédie terriblement pas drôle.

  7. Miami Herald
    par Connie Ogle

    Une comédie embarrassante, insultante envers le public féminin alors que ce film lui est destiné.

  8. Boston Globe
    par Peter Keough

    Alambiqué, prévisible et pas vraiment comique.

  9. Variety
    par Peter Debruge

    Talbert a étudié la recette qui fonctionnait mais au lieu de la rafraîchir et d’aller au-delà des vieux clichés, il les réitère.

  10. Detroit News
    par Tom Long

    Une véritable catastrophe.