DR
Gerard LETELLIER / TELE 7 JOURS
LEGUAY Bernard
Michel RISTROPH / TELE 7 JOURS /
Bernard LEGUAY / TELE 7 JOURS /
Bernard LEGUAY / TELE 7 JOURS /
Michel RISTROPH / TELE 7 JOURS /
Michel RISTROPH / TELE 7 JOURS /
Jean-Claude COLIN / TELE 7 JOURS
Christophe AUBERT / TELE 7 JOURS
Bruno SCHNEIDER / TELE 7 JOURS /
Christophe AUBERT / TELE 7 JOURS
Jean-Claude COLIN / TELE 7 JOURS
LEGUAY Bernard
Gerard LETELLIER / TELE 7 JOURS
Michel RISTROPH / TELE 7 JOURS /
Christophe AUBERT / TELE 7 JOURS
Michel RISTROPH / TELE 7 JOURS /
RISTROPH Michel
Jean LENOIR / TELE 7 JOURS / SCO
Bernard LEGUAY / TELE 7 JOURS /
Christophe AUBERT / TELE 7 JOURS
Christophe AUBERT / TELE 7 JOURS
Jean-Claude COLIN / TELE 7 JOURS
Michel RISTROPH / TELE 7 JOURS /
Michel MARIZY / TELE 7 JOURS / S

PHOTOS - Vivement Dimanche : retour sur l'immense carrière de Nicoletta

Nicoletta (1988)

Nicoletta (1974)

Nicoletta

Nicoletta (1985)

Nicoletta (1986)

Nicoletta (1971)

Nicoletta (1969)

Nicoletta (1986)

Nicoletta (2008)

Nicoletta (1976)

Nicoletta (2008)

Nicoletta (1978)

Nicoletta (1980)

Nicoletta (1984)

Nicoletta (1969)

Nicoletta (2002)

Nicoletta (1968)

Nicoletta (1971)

Nicoletta (1968)

Nicoletta (1971)

Sur le plateau de ANNIE SUR LA DEUX

Nicoletta (2009)

<strong>La chanteuse à la voix d?or fête ses 40 ans de métier sur le plateau de Michel Drucker dans Vivement dimanche. L?occasion pour l?interprète de </strong><strong>Mamy Blue</strong><strong> de revenir sur les moments fort de sa carrière. Télé 7 Jours a ressorti de ses archives quelques pépites de la chanteuse durant toute sa carrière tandis qu'Emmanuel Ducasse a recueilli ses confidences !</strong>pagebreak<strong>C?est la première fois que vous vous asseyez sur le canapé rouge de Michel Drucker en qualité d?invitée principale. Qu?allons-nous voir dans ce </strong><strong>Vivement Dimanche </strong><strong>?</strong>J?ai convié mes hommes, Hervé Vilard, mon petit frère, et William Sheller, mon maestro ! William et moi avons travaillé ensemble sur la comédie musicale <em>Quasimodo</em> avec l?orchestre philharmonique de Paris en 1989, puis il m?a composé l?album <em>Connivences</em>? Je crois que l?équipe de Drucker a retrouvé des images inattendues comme mon duo avec Joey Starr sur <em>Mamy Blue</em>, au Stade de France devant le public de Jean-Marie Bigard en 2004.pagebreak<strong>Vous venez de sortir le double CD + DVD, </strong><strong>Nicoletta en concert</strong><strong> (Wagram), pour vos quarante ans de carrière. Qu?est-ce qui vous fait durer ?</strong>L?amour des gens, de la scène, de la musique. Je me suis toujours remise en question et j?aime me lancer dans de nouvelles aventures. Je chante de la variété, de la soul, du jazz, du gospel. J?ai même essayé l?opéra avec <em>Grandeur et décadence de la ville de Mahagonny</em> de Bertolt Brecht et Kurt Weill, à la fin des années 1980.pagebreak<strong>Dans votre répertoire très varié, avez-vous une tendresse particulière pour certains titres ?</strong>Oui, <em>Mamy Blue</em> et <em>Il est mort le soleil</em>, mes chansons fétiches qui touchent le plus les gens. Elles évoquent la douleur, la mort, le deuil. J?avais 22 ans quand mon producteur m?a proposé <em>Il est mort le soleil</em>. Sur le coup, j?ai détesté. « ça ne veut rien dire, "Il est mort le soleil" », ai-je balancé au parolier Pierre Delanoë. Je ne comprenais pas la métaphore. Et puis, un jour, après un concert, une dame m?aborde et me confie : « Je suis venue spécialement vous écouter chanter <em>Il est mort le soleil</em>. Mon fils s?est tué en moto, il y a trois mois. Il était le soleil de ma vie. » pagebreak<strong>Vous avez connu l?âge d?or du disque. Quels conseils donneriez-vous à un jeune artiste alors que le secteur est sinistré ?</strong>Apprendre le métier en assurant les premières parties des concerts d?une grande star. Hélas, les producteurs ne laissent plus beaucoup aux débutants le temps de s?installer. Moi, je suis montée sur scène en vedette américaine d?Adamo et d?Eddy Mitchell. Avec Johnny, j?ai appris à m?imposer physiquement sur scène. Avec Gilbert Bécaud, à transformer un petit raté en truc rigolo.pagebreak<strong>Est-ce que votre fils unique, Alexandre, 31 ans, a été tenté par la musique ?</strong>Oui, il s?occupe du son d?émissions télé en tant qu?informaticien musical. Et il fait partie d?un groupe d?électro-acoustique, les Chkrrr, qui signe des bandes originales de films. Il m?a aussi écrit <em>Toi</em>, un titre de toute beauté pour <em>Le rendez-vous,</em> mon album jazzy de 2006.pagebreak<strong>Avez-vous des regrets ?</strong>Aucun ! L?essentiel dans la vie, c?est d?essayer. Pas grave s?il m?arrive de me planter. J?essaie ! pagebreak<strong>Interview Emmanuel Ducasse</strong>NICOLETTA et son chien Lhassa Apso Romeo lors du GALA DE LA TRUFFE 2009 organise par LANCEL

Nicoletta (2005)

Nicoletta (1985)

Nicoletta (1968)

Nicoletta (2007)

La chanteuse à la voix d’or fête ses 40 ans de métier sur le plateau de Michel Drucker dans Vivement dimanche. L’occasion pour l’interprète de Mamy Blue de revenir sur les moments fort de sa carrière. Télé 7 Jours a ressorti de ses archives quelques pépites de la chanteuse durant toute sa carrière tandis qu'Emmanuel Ducasse a recueilli ses confidences !C’est la première fois que vous vous asseyez sur le canapé rouge de Michel Drucker en qualité d’invitée principale. Qu’allons-nous voir dans ce Vivement Dimanche ?J’ai convié mes hommes, Hervé Vilard, mon petit frère, et William Sheller, mon maestro ! William et moi avons travaillé ensemble sur la comédie musicale Quasimodo avec l’orchestre philharmonique de Paris en 1989, puis il m’a composé l’album Connivences… Je crois que l’équipe de Drucker a retrouvé des images inattendues comme mon duo avec Joey Starr sur Mamy Blue, au Stade de France devant le public de Jean-Marie Bigard en 2004.Vous venez de sortir le double CD + DVD, Nicoletta en concert (Wagram), pour vos quarante ans de carrière. Qu’est-ce qui vous fait durer ?L’amour des gens, de la scène, de la musique. Je me suis toujours remise en question et j’aime me lancer dans de nouvelles aventures. Je chante de la variété, de la soul, du jazz, du gospel. J’ai même essayé l’opéra avec Grandeur et décadence de la ville de Mahagonny de Bertolt Brecht et Kurt Weill, à la fin des années 1980.Dans votre répertoire très varié, avez-vous une tendresse particulière pour certains titres ?Oui, Mamy Blue et Il est mort le soleil, mes chansons fétiches qui touchent le plus les gens. Elles évoquent la douleur, la mort, le deuil. J’avais 22 ans quand mon producteur m’a proposé Il est mort le soleil. Sur le coup, j’ai détesté. « ça ne veut rien dire, "Il est mort le soleil" », ai-je balancé au parolier Pierre Delanoë. Je ne comprenais pas la métaphore. Et puis, un jour, après un concert, une dame m’aborde et me confie : « Je suis venue spécialement vous écouter chanter Il est mort le soleil. Mon fils s’est tué en moto, il y a trois mois. Il était le soleil de ma vie. » Vous avez connu l’âge d’or du disque. Quels conseils donneriez-vous à un jeune artiste alors que le secteur est sinistré ?Apprendre le métier en assurant les premières parties des concerts d’une grande star. Hélas, les producteurs ne laissent plus beaucoup aux débutants le temps de s’installer. Moi, je suis montée sur scène en vedette américaine d’Adamo et d’Eddy Mitchell. Avec Johnny, j’ai appris à m’imposer physiquement sur scène. Avec Gilbert Bécaud, à transformer un petit raté en truc rigolo.Est-ce que votre fils unique, Alexandre, 31 ans, a été tenté par la musique ?Oui, il s’occupe du son d’émissions télé en tant qu’informaticien musical. Et il fait partie d’un groupe d’électro-acoustique, les Chkrrr, qui signe des bandes originales de films. Il m’a aussi écrit Toi, un titre de toute beauté pour Le rendez-vous, mon album jazzy de 2006.Avez-vous des regrets ?Aucun ! L’essentiel dans la vie, c’est d’essayer. Pas grave s’il m’arrive de me planter. J’essaie ! Interview Emmanuel Ducasse