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Jean Pimentel
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PHOTOS - Les Méchantes : Evelyne Bouix et Marie-Anne Chazel ce soir sur France 2

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<strong>France 2</strong> diffuse ce soir à 20h35 le téléfilm inédit intitulé <strong><em>Les Méchantes</em></strong>, adapté d'une pièce de Feydau avec dans les rôles principaux <strong>Marie-Anne Chazel</strong> et <strong>Evelyne Bouix</strong>. Dans ce vaudeville, elles incarnent deux sociétaires de la Comédie-Française qui rivalisent pour obtenir les faveurs de Napoléon Ier. La brune et la blonde font des étincelles !pagebreak<strong>Evelyne Bouix</strong><strong>Vous êtes Léonide de Saint-Robert, la meilleure ennemie de Louise Leconte à la Comédie-Française en 1804. En quoi est-ce amusant de jouer une garce ?</strong>On explore les fêlures de l?héroïne. Derrière les pires crasses qu?elles se font pour se chiper rôles et amants, on sent leurs souffrances. Comédiennes sur le retour, elles s?inquiètent de voir arriver une jeunette prometteuse. D?autant que ces demi-mondaines n?ont plus de galants pour les entretenir.<strong>L?opposition entre vos personnages se traduit aussi dans leurs costumes?</strong>En effet, la Saint-Robert porte des couleurs criardes, orange, violet, jaune. Cette roturière, ancienne marchande des quatre-saisons, veut briller à tout prix. En revanche, la Comtesse préfère les teintes pastel. Elle se veut plus raffinée, car appartenant à l?aristocratie, prétend-elle. En réalité, elle aussi est issue du peuple. Nos toilettes magnifiques renforcent l?ambiance ouatée mais cruelle du téléfilm.<strong>Comment se sont déroulées les scènes de crêpages de chignon ?</strong>Marie-Anne et moi étions comme deux chipies dans la cour de récréation. Nous avons répété avec un cascadeur pour nous frapper avec de faux bouquets de fleurs et nous gifler, sans se faire mal.<strong>Est-ce un défi supplémentaire de donner la réplique à votre mari, Pierre Arditi, qui incarne l?ex-amant des deux rivales ?</strong>Oui, car j?ai sans doute envie de l?épater. Notre complicité dans la vie est toujours un plus à l?écran.pagebreak<strong>Marie-Anne Chazel</strong><strong>Vous souhaitiez depuis longtemps interpréter une peste. Pourquoi ?</strong>On ne pense pas souvent à moi pour jouer les teignes car j?ai l?image de la fille sympa, rigolote. J?en ai parlé à la scénariste Anne Andrei. Nous avions travaillé ensemble sur le téléfilm Le Rosier de Madame Husson de Maupassant. Elle a donc écrit du sur-mesure pour Evelyne et moi.<strong>Est-ce plus jouissif de camper une garce plutôt qu?une gentille ?</strong>Bien sûr, car on va dans les défauts humains et les situations excessives. Le ton des Méchantes suscite le ridicule. Les héroïnes se prennent pour de grandes tragédiennes, alors qu?elles sont épouvantables sur scène : elles bêlent les tirades d?Horace et d?Andromaque. Pathétiques, mais touchantes, au fond.<strong>Avez-vous déjà subi les vacheries d?actrices sur un tournage ?</strong>Oui, mais pas dans le registre d?une guerre ouverte à la Leconte / Saint-Robert. C?était plutôt des remarques sournoises, ambiguës. Par exemple, lors d?un essayage de costume, l?une m?a lancé : "Cette tenue te va impeccable". Alors que pas du tout, je le voyais bien !<strong>Les Méchantes refusent leur âge. Comment gérez-vous le temps qui passe ?</strong>D?un côté, j?ai la chance de faire un métier où l?on peut vieillir : il y a des rôles formidables pour les actrices mûres, et notre vécu nourrit parfaitement les personnages. De l?autre, ce n?est pas agréable de se voir avec des rides. Alors, je suis plus exigeante sur les cadrages et les éclairages. Tant que les propositions affluent, tout va bien !Emmanuel Ducasse <strong>Pour de vrai</strong>Ce téléfilm s?appuie sur une histoire authentique. En 1802, Melle Duchesnois est la grande figure de la Comédie-Française. Elle joue souvent avec le tragédien Talma, l?acteur favori de Napoléon Bonaparte, qui a inspiré le personnage de Pierre Arditi. Aussi enrage-t-elle quand est recrutée la ravissante Melle George, de dix ans sa cadette. Leurs partisans respectifs en viennent aux mains lors des représentations. Napoléon soutient Melle George, qui compte parmi ses conquêtes. Son épouse Joséphine, au contraire, prend parti pour Melle Duchesnois, avant que celle-ci ne finisse aussi dans le lit du Premier consul.

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France 2 diffuse ce soir à 20h35 le téléfilm inédit intitulé Les Méchantes, adapté d'une pièce de Feydau avec dans les rôles principaux Marie-Anne Chazel et Evelyne Bouix. Dans ce vaudeville, elles incarnent deux sociétaires de la Comédie-Française qui rivalisent pour obtenir les faveurs de Napoléon Ier. La brune et la blonde font des étincelles !Evelyne BouixVous êtes Léonide de Saint-Robert, la meilleure ennemie de Louise Leconte à la Comédie-Française en 1804. En quoi est-ce amusant de jouer une garce ?On explore les fêlures de l’héroïne. Derrière les pires crasses qu’elles se font pour se chiper rôles et amants, on sent leurs souffrances. Comédiennes sur le retour, elles s’inquiètent de voir arriver une jeunette prometteuse. D’autant que ces demi-mondaines n’ont plus de galants pour les entretenir.L’opposition entre vos personnages se traduit aussi dans leurs costumes…En effet, la Saint-Robert porte des couleurs criardes, orange, violet, jaune. Cette roturière, ancienne marchande des quatre-saisons, veut briller à tout prix. En revanche, la Comtesse préfère les teintes pastel. Elle se veut plus raffinée, car appartenant à l’aristocratie, prétend-elle. En réalité, elle aussi est issue du peuple. Nos toilettes magnifiques renforcent l’ambiance ouatée mais cruelle du téléfilm.Comment se sont déroulées les scènes de crêpages de chignon ?Marie-Anne et moi étions comme deux chipies dans la cour de récréation. Nous avons répété avec un cascadeur pour nous frapper avec de faux bouquets de fleurs et nous gifler, sans se faire mal.Est-ce un défi supplémentaire de donner la réplique à votre mari, Pierre Arditi, qui incarne l’ex-amant des deux rivales ?Oui, car j’ai sans doute envie de l’épater. Notre complicité dans la vie est toujours un plus à l’écran.Marie-Anne ChazelVous souhaitiez depuis longtemps interpréter une peste. Pourquoi ?On ne pense pas souvent à moi pour jouer les teignes car j’ai l’image de la fille sympa, rigolote. J’en ai parlé à la scénariste Anne Andrei. Nous avions travaillé ensemble sur le téléfilm Le Rosier de Madame Husson de Maupassant. Elle a donc écrit du sur-mesure pour Evelyne et moi.Est-ce plus jouissif de camper une garce plutôt qu’une gentille ?Bien sûr, car on va dans les défauts humains et les situations excessives. Le ton des Méchantes suscite le ridicule. Les héroïnes se prennent pour de grandes tragédiennes, alors qu’elles sont épouvantables sur scène : elles bêlent les tirades d’Horace et d’Andromaque. Pathétiques, mais touchantes, au fond.Avez-vous déjà subi les vacheries d’actrices sur un tournage ?Oui, mais pas dans le registre d’une guerre ouverte à la Leconte / Saint-Robert. C’était plutôt des remarques sournoises, ambiguës. Par exemple, lors d’un essayage de costume, l’une m’a lancé : "Cette tenue te va impeccable". Alors que pas du tout, je le voyais bien !Les Méchantes refusent leur âge. Comment gérez-vous le temps qui passe ?D’un côté, j’ai la chance de faire un métier où l’on peut vieillir : il y a des rôles formidables pour les actrices mûres, et notre vécu nourrit parfaitement les personnages. De l’autre, ce n’est pas agréable de se voir avec des rides. Alors, je suis plus exigeante sur les cadrages et les éclairages. Tant que les propositions affluent, tout va bien !Emmanuel Ducasse Pour de vraiCe téléfilm s’appuie sur une histoire authentique. En 1802, Melle Duchesnois est la grande figure de la Comédie-Française. Elle joue souvent avec le tragédien Talma, l’acteur favori de Napoléon Bonaparte, qui a inspiré le personnage de Pierre Arditi. Aussi enrage-t-elle quand est recrutée la ravissante Melle George, de dix ans sa cadette. Leurs partisans respectifs en viennent aux mains lors des représentations. Napoléon soutient Melle George, qui compte parmi ses conquêtes. Son épouse Joséphine, au contraire, prend parti pour Melle Duchesnois, avant que celle-ci ne finisse aussi dans le lit du Premier consul.