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PHOTOS - The Sitter : le cul fait vendre ? Les jambes aussi !

The Sitter : une affiche qui en rappelle d'autres

La première affiche de The Sitter s?inscrit dans la veine des comédies des frères <strong>Farrelly</strong>. Et marche un peu sur les plates bandes de <em>James Bond</em>, aussi&nbsp;! Jusqu?ici, on trouvait la promotion de <em>The Sitter</em> assez originale. Pour faire connaître cette comédie où <strong>Jonah Hill</strong> s?improvise baby-sitter pour gagner un peu de fric, la 20th Century Fox avait eu l?idée rigolote de <strong>placarder le visage de cet anti-héros dans la rue, avec un numéro de téléphone</strong>, comme s?il s?agissait d?une vraie annonce. Le numéro en question dirigeait les plus curieux vers une boîte vocale avec des messages pré-enregistrés par <strong>Jonah Hill</strong>. Pourquoi ne pas avoir continué dans cette voie&nbsp;? L?affiche officielle du film, au contraire de cette image, n?est pas vraiment originale. Elle reprend un concept déjà vu des dizaines de fois&nbsp;: placer un homme (et des enfants, en l?occurrence, qui doivent être ceux que Jonah doit garder), juste <strong>derrière des jambes de femmes, interminables et forcément sexy.</strong> Le concept était sans doute original en 1981, juste avant la sortie de &nbsp;Rien que pour vos yeux, dont l?affiche voyait <strong>Roger Moore</strong> au centre des jambes d?une mannequin, mais depuis, il a été repris à toutes les sauces. Des films d?horreur (Doghouse) aux films d?action (Le transporteur 2) en passant par les comédies graveleuses (les frères Farrelly aiment particulièrement ce cliché), voici une dizaine d?affiches à ne pas prendre par dessus la jambe&nbsp;! Elodie Bardinet

Une affiche clairement copiée pour Le Transporteur 2

Ici, la belle est sur-armée, encore plus que la James Bond Girl, mais l'idée est la même, avec son héros qui plonge entre ses jambes, armes aux poings. Pour une double dose de plaisir (coupable) ?

Même la motion capture subit le même sort !

Si vous n'avez pas vu Beowulf, sachez qu'il s'agit ici des jambes d'<strong>Angelina Jolie</strong>. Le phénomène touche donc d'autres genres cinématographiques. Seule originalité ici, les jambes de la belle sont rassemblées, comme si elle avançait sur son adversaire. Et comme l'affiche doit attiser la curiosité tout en s'adressant à un public le plus large possible, les fesses sont censurées.

Bien sûr, le cliché n'échappe pas à la parodie

Pour l'équipe d'Austin Powers, dont les aventures sont très inspirées des différents James Bond, difficile de résister à l'envie de parodier l'une des affiches les plus célèbres de la saga. Au passage, ils mélangent les films, puisque Goldmember fait clairement référence à Goldfinger.

Plus généralement, le principe est apprécié pour promouvoir des comédies

Les frères Farrelly adorent ce cliché ! Preuve en est avec <em>Kingpin</em>, l'un de leurs premiers films, où les trois personnages principaux ont carrément la tête entre les jambes de la demoiselle. Ils ne sont plus du tout en retrait !

Et même parodiée !

On entre donc dans la parodie de parodie. Enfin, en quelque sorte. La comédie s'est appropriée ce cliché sexy ? Brüno n'y échappe pas : sauf que là, malgré l'épilation parfaite et la pose, ce n'est pas une jolie femme qui pose de dos, mais <strong>Sacha Baron Cohen</strong>, dans la peau de son chroniqueur gay, qui, trois ans après Borat, revient secouer la pudeur américaine.

Mais ces affiches arrivent-elles seulement à la cheville de leur modèle ?

Un vrai fantasme pour les frères Farrelly

Rebelote dix ans plus tard avec Les femmes de ses rêves, où, bizarrement, <strong>Ben Stiller</strong> fait la tronche, malgré la beauté qui se tient, de dos, devant lui. Une manière de créer d'emblée un décalage humoristique.

Une idée sans cesse réutilisée

Dans le même esprit, l'une des affiches de&nbsp;Crazy stupid love dévoile <strong>Steve Carrell</strong> recroquevillé face à la féminité débordante de l'une de ses conquêtes. Si l'aspect sexy est bien là, il est un peu atténué (pour une fois, madame est en robe, et non en culotte ou en string), mais les autres éléments sont là : jambes galbées et écartées, talons hauts...

Rien que pour vos yeux, bien sûr

Dès qu'on voit les jambes d'une femme, de dos, sur une affiche, difficile de ne pas penser à ce <em>James Bond</em> ! C'est le modèle du genre : montrer la moitié d'un corps de femme, très sexy, sans censurer sa culotte. Entre ses jambes, le héros, en plus petit, sort son arme. Freud y aurait certainement décelé une lourde symbolique sexuelle.

Trop sexy pour faire peur !

L'idée a même été reprise par des films d'horreur ! Bon, dans ce type de film, cela ajoute tout de suite une pointe d'humour, puisque ce qui est d'abord mis en avant, ce sont les jambes ultra sexy d'une victime (ou d'une tortionnaire, d'ailleurs). Ce ne sont pas quelques taches de sang qui vont effrayer le spectateur, plutôt ravi de mater une telle musculature. Dans un domaine habitué à jouer avec les clichés, il était quasiment sûr que celui-ci n'y couperait pas !

La première affiche de The Sitter s’inscrit dans la veine des comédies des frères Farrelly. Et marche un peu sur les plates bandes de James Bond, aussi !Jusqu’ici, on trouvait la promotion de The Sitter assez originale. Pour faire connaître cette comédie où Jonah Hill s’improvise baby-sitter pour gagner un peu de fric, la 20th Century Fox avait eu l’idée rigolote de placarder le visage de cet anti-héros dans la rue, avec un numéro de téléphone, comme s’il s’agissait d’une vraie annonce. Le numéro en question dirigeait les plus curieux vers une boîte vocale avec des messages pré-enregistrés par Jonah Hill.Pourquoi ne pas avoir continué dans cette voie ? L’affiche officielle du film, au contraire de cette image, n’est pas vraiment originale. Elle reprend un concept déjà vu des dizaines de fois : placer un homme (et des enfants, en l’occurrence, qui doivent être ceux que Jonah doit garder), juste derrière des jambes de femmes, interminables et forcément sexy.Le concept était sans doute original en 1981, juste avant la sortie de  Rien que pour vos yeux, dont l’affiche voyait Roger Moore au centre des jambes d’une mannequin, mais depuis, il a été repris à toutes les sauces. Des films d’horreur (Doghouse) aux films d’action (Le transporteur 2) en passant par les comédies graveleuses (les frères Farrelly aiment particulièrement ce cliché), voici une dizaine d’affiches à ne pas prendre par dessus la jambe !Elodie Bardinet