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Les champs normands font face aux usines chinoises dans ce docu qui aborde un aspect de la mondialisation en dissèquant la façon dont le lin est récolté en France puis exporté en Chine. Ces deux environnements opposés sont joliment filmés par la réalisatrice, qui évoque les problèmes auxquels sont confrontés les travailleurs de la filière linière : barrière de la langue, assujettissement à la météo, fluctuation des devises... Malheureusement, l’antinomie présente dans le titre s’insinue jusque dans le ressenti du spectateur, partagé entre curiosité et ennui.
Toutes les critiques de La Pluie et le beau temps
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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La Chine achète en France 95 % du lin qu'elle tisse dans ses usines. (...) Un documentaire intéressant sur ce va-et-vient entre France et Chine.
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La toujours impeccable Ariane Doublet (...) exprime l'inconciliable et l'hétérogène.
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A travers ce cas particulier, Ariane Doublet propose un décryptage de notre économie mondialisée.
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La Pluie Et Le Beau Temps livre sur la mondialisation une vision de biais, et ainsi d'autant plus féconde.