Toutes les critiques de Ce que le jour doit à la nuit

Les critiques de Première

  1. Première
    par Antoine Prioul

    Avec cette fresque pleine d’action, de larmes et de nostalgie sur les liens passionnels qui unissent pieds-noirs et Algériens, Arcady lorgnait vers Il était une fois en Amérique. Le problème, c’est que le réalisateur du Grand Pardon est à Sergio Leone ce que Richard Clayderman est à Mozart. En témoigne ce nanar besogneux, étouffant de lyrisme grumeleux, qui bascule au bout de trois plans dans une parodie involontaire de saga estivale très très longue, mais aussi très très poilante – surtout les scènes avec Anne Parillaud, en Milf (Mother I’d Like to Fuck) sexy.

Les critiques de la Presse

  1. Le Monde
    par Noémie Luciani

    "Ce que le jour doit à la nuit" est une fresque monumentale dans tous les sens du terme.

  2. Nouvel Obs
    par Xavier Leherpeur

    Si le récit, adapté du roman de Yasmina Khadra, articule avec lourdeur l’intime et l’épique, la mise en scène d’Alexandre Arcady retrouve (enfin) ce souffle épique dont il est capable

  3. Le Canard Enchainé
    par La rédaction du canard enchaîné

    Le roman est de Yasmina Khadra. Les cadrages d'Alexandre Arcady. Un mélodrame donc. Où le violon récite les mots.

  4. Le JDD
    par Danielle Attali

    Sur fond de colonialisme, de soleil, d’attentats, d’amitié, de trahison, Arcady signe une longue fresque (2h39) romanesque bien trop grandiloquente avec ses sentiments qui débordent de partout et une romance inaboutie qui laisse le spectateur agacé. L’interprétation de Fu’Ad Aït Aattou (Younes adulte) sonne malheureusement faux durant tout le film. Ça fleure un cinéma suranné, mais pas désagréable. Bien sûr, la talentueuse Nora Arnezeder éclaire l’écran mais cela ne suffit pas à nous convaincre.

  5. StudioCiné Live
    par Laurent Djian

    Une fresque romanesque algérienne sagement illustrée.

  6. Ouest France
    par La rédaction de Ouest France

    Le propos, exposé sans guère de nuances ni de subtilités, se noie dans les débordements d'une mise en scène ampoulée et surlignée. (...) Une fresque interminable.

  7. VSD
    par La rédaction de VSD

    Une tentative d'Il était une fois en Algérie luxueuse et indéniablement sincère, mais plombée par une emphase, une naïveté et une musique (une note par image au minimum) assommantes.

  8. Version Femina
    par Anne Michelet

    Sur plusieurs décennies, cette saga nous entraîne dans un tourbillon d'histoires d'amour cachées, de secrets et d'amitiés trahies. Mais le jeu transparent de certains acteurs nuit au souffle épique voulu. Dommage.