PHOTOS - Ni reprise, ni échangée : Muriel Robin en vraie peste ce soir sur TF1
NI REPRISE NI ECHANGEE
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Dans <strong>Ni reprise, ni échangée</strong> ce soir à 20h45 sur <strong>TF1</strong>, <strong>Muriel Robin</strong> revient plus féminine que jamais dans la peau d?une créature riche et odieuse dont l?enlèvement par une bande d?amateurs va transformer la vie.<strong>Après avoir joué mère de famille gentille et dévouée dans Folie douce, vous retrouvez Josée Dayan et le scénariste Nicolas Bedos. </strong>Oui, et cette fois, je joue une vraie peste ! Parce qu?elle est fortunée, Juliette s?imagine avoir tous les droits et terrorise son entourage, mari compris. Tous la détestent mais elle vit dans l?illusion. Elle ne va s?en rendre compte que le jour où elle se fait kidnapper et que nul ne souhaite payer la rançon! <strong>Vous avez déjà campé ces personnages snobs et exécrables? </strong>Nicolas avait envie de me voir à l?écran comme on me connaît sur scène. Mais jouer les méchantes est crevant. Je n?aurais pu jouer ce rôle trop longtemps. J?en aurais souffert émotionnellement. Je ne suis plus la femme de mes sketches. Aboyer à tout va comme Juliette me renvoie à cette époque où je n?étais pas aussi bien dans mes baskets. Ma féminité et ma douceur étaient tellement enfouies que je croyais ne pas en avoir.<strong>De téléfilm en téléfilm, on vous découvre de plus en plus féminine? </strong>Parce que je le suis de plus en plus dans ma vie, j?ai envie de le montrer. Ne pas cumuler les casquettes et être juste comédienne me va bien, cela me fait desserrer les mâchoires ! Pour cette héroïne, très coquette, j?ai eu envie d?aller jusqu?au bout et de m?alléger un peu.<strong>Quelle a été votre recette pour vous affûter ?</strong>La salle de gym trois fois par semaine ! Je cours souvent pour me remuscler le c?ur après avoir fumé pendant quarante ans et je fais des abdos? <strong>Allez-vous laisser pousser vos cheveux ?</strong>J?y ai songé, mais j?ai l?air d?un travelo ! Etre la <strong>Jimi Hendrix</strong> blonde, non merci !<strong>Avez-vous rencontré des difficultés sur certaines scènes ?</strong>Pour une séquence, j?ai dû traverser une rivière, sombre, très sombre. Dans la vraie vie, je n?y aurais pas trempé un orteil. Je suis du genre à vouloir distinguer la taille du grain de sable sous mes pieds quand je me baigne. Devant la caméra, je suis dans la peau du personnage, je peux ainsi me transcender. Un réalisateur peut tout me demander sur un tournage ! Josée l?a bien compris, elle m?a aussi fait tourner avec des rats. Je me suis quand même surprise à aboyer pour les faire fuir, une réaction totalement spontanée que Josée a conservée au montage.<strong>Jusqu?où iriez-vous ?</strong>Je n?ai pas de limite, je pourrais même accepter, comme Belmondo, d?être suspendue à un hélico !Interview Uriell CeillierInfo + Comme dans <strong>Folie Douce</strong>, le personnage de Muriel s?appelle Juliette. Normal, les deux téléfilms sont signés <strong>Nicolas Bedos</strong>, et il a décidé de donner ce prénom à tous les personnages qu?il écrit pour Muriel, un peu comme les livres pour enfants <em>"Martine</em>".
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Dans Ni reprise, ni échangée ce soir à 20h45 sur TF1, Muriel Robin revient plus féminine que jamais dans la peau d’une créature riche et odieuse dont l’enlèvement par une bande d’amateurs va transformer la vie.Après avoir joué mère de famille gentille et dévouée dans Folie douce, vous retrouvez Josée Dayan et le scénariste Nicolas Bedos. Oui, et cette fois, je joue une vraie peste ! Parce qu’elle est fortunée, Juliette s’imagine avoir tous les droits et terrorise son entourage, mari compris. Tous la détestent mais elle vit dans l’illusion. Elle ne va s’en rendre compte que le jour où elle se fait kidnapper et que nul ne souhaite payer la rançon! Vous avez déjà campé ces personnages snobs et exécrables… Nicolas avait envie de me voir à l’écran comme on me connaît sur scène. Mais jouer les méchantes est crevant. Je n’aurais pu jouer ce rôle trop longtemps. J’en aurais souffert émotionnellement. Je ne suis plus la femme de mes sketches. Aboyer à tout va comme Juliette me renvoie à cette époque où je n’étais pas aussi bien dans mes baskets. Ma féminité et ma douceur étaient tellement enfouies que je croyais ne pas en avoir.De téléfilm en téléfilm, on vous découvre de plus en plus féminine… Parce que je le suis de plus en plus dans ma vie, j’ai envie de le montrer. Ne pas cumuler les casquettes et être juste comédienne me va bien, cela me fait desserrer les mâchoires ! Pour cette héroïne, très coquette, j’ai eu envie d’aller jusqu’au bout et de m’alléger un peu.Quelle a été votre recette pour vous affûter ?La salle de gym trois fois par semaine ! Je cours souvent pour me remuscler le cœur après avoir fumé pendant quarante ans et je fais des abdos… Allez-vous laisser pousser vos cheveux ?J’y ai songé, mais j’ai l’air d’un travelo ! Etre la Jimi Hendrix blonde, non merci !Avez-vous rencontré des difficultés sur certaines scènes ?Pour une séquence, j’ai dû traverser une rivière, sombre, très sombre. Dans la vraie vie, je n’y aurais pas trempé un orteil. Je suis du genre à vouloir distinguer la taille du grain de sable sous mes pieds quand je me baigne. Devant la caméra, je suis dans la peau du personnage, je peux ainsi me transcender. Un réalisateur peut tout me demander sur un tournage ! Josée l’a bien compris, elle m’a aussi fait tourner avec des rats. Je me suis quand même surprise à aboyer pour les faire fuir, une réaction totalement spontanée que Josée a conservée au montage.Jusqu’où iriez-vous ?Je n’ai pas de limite, je pourrais même accepter, comme Belmondo, d’être suspendue à un hélico !Interview Uriell CeillierInfo + Comme dans Folie Douce, le personnage de Muriel s’appelle Juliette. Normal, les deux téléfilms sont signés Nicolas Bedos, et il a décidé de donner ce prénom à tous les personnages qu’il écrit pour Muriel, un peu comme les livres pour enfants "Martine".
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