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Alors qu’elle avait exprimé la volonté de tourner définitivement la page, Rihanna aborde à nouveau le sujet Chris Brown et confie qu’elle regrette profondément de lui avoir accordé une seconde chance après son agression, en 2009 ! Rihanna, c’est un peu la reine du paradoxe ! Celle qui chantait sur tous les tons son ravissement de participer au mariage de son amie Katy Perry a fini par ne pas s’y rendre pour des problèmes de réseau et voilà qu’elle se met à faire des confidences sur son ex petit ami Chris Brown, juste après avoir exprimé son raz le bol à l’idée de devoir sans arrêt aborder le sujet ! Interviewée par l’édition britannique de GQ, la chanteuse barbadienne a confié ses regrets par rapport à sa décision d’avoir accordé une seconde chance à Chris Brown, après que celui-ci lui ait refait le portrait, en février 2009. "C’était une situation dans laquelle je ne me serais jamais permise d’être. Quelque chose que j’aurais forcé mes amies à quitter. Mais voilà où j’en étais, pile dedans, commence Rihanna. J’ai été témoin d’abus physiques infligés à ma mère et je m’étais toujours dit que je ne laisserais jamais quelque chose comme ça m’arriver." Et d’ajouter : "Maintenant, lorsque j’y repense, ça me rend folle de ne pas avoir vu les choses telles qu’elles étaient." Rihanna, qui sort actuellement avec le joueur de baseball, Matt Kemp, confie également que l’attention du public sur son drame personnel l’a beaucoup gênée. "Avant ça, j’étais juste la jeune fille de l’île qui chantait de la pop. C’était facile de penser que j’étais superficielle, j’avais tout. On aurait dit que je n’avais aucun problème. Et tout à coup, boom ! Tout le monde a réalisé que j’avais des problèmes. J’étais trop fière. Je préférais faire semblant. Je ne laissais jamais personne me voir pleurer. Je ne voulais pas que les gens me plaignent. Je déteste que tout le monde soit au courant de ça et je ne veux pas qu’on se souvienne de moi pour ça. C’est la partie de moi sur la défensive. Même quand je me sens très mal à propos d’une situation, je dresse ce mur si dur que j’arrive presque à croire que ça m’est égal." Si elle veut éviter qu’on se souvienne d’elle pour ça, peut-être ferait-elle mieux de refuser d’aborder le sujet ?