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La même chose, mais ailleurs. C’est à peu près la formule de cette suite programmée pour exploiter le succès qui a fait de Liam Neeson une sorte de Charles Bronson contemporain. Mais, sans l’effet de surprise, les défauts l’emportent largement sur les qualités. Le scénario est réduit à un shoot’em up, les personnages sont inexistants ou débiles (une tache dans la fi lmo de Famke Janssen). En dehors de quelques idées saugrenues (la fi lle de Neeson court sur les toits en lançant des grenades pour permettre à son père de la repérer), le décor d’Istanbul est inexplicablement sous-exploité. Quant aux scènes d’action, elles sont filmées et montées en multipliant les axes pour masquer le déficit d’idées de mise en scène. Seul Liam Neeson s’en tire avec un certain détachement, allant jusqu’à faire semblant de croire qu’avec un sac sur la tête, son personnage peut se repérer en mémorisant les bruits de la rue.
Toutes les critiques de Taken 2
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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(...) méchants patibulaires, cavalcades sur les toits, fusillades et chutes mortelles, tabassage en règle, les scénaristes ne se sont pas foulés. Du déjà-vu, mais plutôt efficace.
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On prend les mêmes et on recommence en inversant l’intrigue dans ce volet 2 du carton français outre-Atlantique toujours produit par Luc Besson. Du déjà-vu donc, mais pas de quoi décourager les fans d’action virile et de Liam Neeson, charismatique et crédible en bon père de famille indestructible.
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Les spectateurs qui ont aimé « Taken » et attendent une suite dans le même genre seront pleinement satisfaits.
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Suite improbable d’un film qui n’en demandait pas tant de par son sujet, Taken 2 exploite à fond les cordes de la série B d’action, mais il le fait avec efficacité. Pour amateurs de courses-poursuites et de traques à l’homme acharnées seulement.
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Une vendetta brutale et explosive avec des flingues qui défouraillent et des méchants vraiment affreux... Pour les dialogues faudra repasser mais, niveau testostérone, le contrat est rempli.
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la recette reste la même, mini-scénario pour un maximum d’action. (...) Tonton flingueur – 60 ans cette année – à sa manière, Liam fatal explose et ventile tout ce qui est un peu basané et ricanant. Entre pupilles façon lapin pris dans les phares d’une voiture face au déferlement d’images et encéphalo plat, le spectateur attend benoîtement Taken 3 avec son slogan choc : "Ta soeur ou le déambulateur."
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Le dîner de Noel ne sera pas ennuyeux cette année
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(...) cette suite (...) est certes très efficace, mais elle manque cruellement d'un vrai suspense.
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Bien que Neeson ait eu 60 ans au mois de Juin, il est totalement crédible dans ce rôle et toujours à la hauteur dans « Taken 2 »
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Neeson joue tellement bien que ça le rend humain et vulnérable, on ne peut pas l’aider, mais on s’inquiète pour lui, alors qu’on devrait plutôt être angoissé pour les Albanais.
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Réalisé par Olivier Megaton, pour les amoureux du thriller, voici l'exemple parfait du spectacle sans temps mort, et sans vivants non plus.
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Pas vraiment le type de suite que nous attendions.
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Le scénario est léger, on retrouve le même concept que le film « Die Hard 2 » : la même chose, qui arrive au même gars, à deux reprises.
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Un film cynique, stupide qui a été réalisé uniquement pour faire les poches du spectateur qui a aimé « Taken 1 ». Ne donne vraiment aucune satisfaction.
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Cette suite coûteuse et indolente n’a pas compris ou peut être n’a pas pris le soin de comprendre ce qui a fait le succès de son prédécesseur.
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Un échec pitoyable, entre le film d’action mielleux et le drame familial, « Taken 2 » signe l’arrêt de mort de la série
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Le plaisir éprouvé devant Taken 2 est comparable à celui procurée par une vasectomie dispensée par un vétérinaire.
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Un film Américain, dans le mauvais sens du terme, une parodie du genre film d’action, comment un film aussi médiocre et ridicule peut tenir une place aussi importante parmi les sorties de films ?
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Le travail est bâclé, le scénario reprend en majorité des flashbacks de son prédécesseur, aucune évolution des personnages.
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Le retour d l’ancien agent de la CIA contre les méchants mafieux. Très faible. (...) Car il n’est pas question de geste artistique mais bien de produit, fade, presque avarié tant les recettes (vengeance/violence/happy end) sont exsangues.
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Ce Taken 2- où le réalisateur de Colombianaa remplacé Pierre Morel derrière la caméra - ressemble à une parodie riche en comique involontaire. Pire, ce film ne bluffe plus par son supposé atout majeur: l'aspect spectaculaire et innovant de ses scènes d'action, ni meilleures, ni pires que celles qu'on a déjà vues mille fois dans les productions Besson. Beaucoup de bruit pour pas grand-chose...
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Ce qu’on retient du film, c’est que visiblement Neeson aime se battre avec les Albanais
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Liam Neeson nous ravit de nouveau avec son savoir-faire pour dégommer les méchants. Le tout dans un film qui privilégie l’efficacité à la crédibilité ou la subtilité.
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Le premier volet de ce dyptique était idiot et plaisant, le second est idiot.
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Courses-poursuites frénétiques en voitures dans les ruelles d'Istanbul, combats au corps à corps dans le Bazaar ou dans un hammam, traque endiablée sur les toits de la ville… Toutes les figures imposées du thriller d'action y passent avec une indéniable maestria. Impérial dans son rôle de patriarche vengeur, l'Irlandais Liam Neeson porte le film sur ses larges épaules.
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« Taken » n’était pas un chef d’œuvre et portait à divers objections mais il y avait un fil conducteur et un véritable sens de l’urgence que l’on ne retrouve pas ici.
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Liam Neeson est toujours pris en chasse par d’infâmes mafieux des Balkans et traîne la patte dans les poursuites. « Taken 2 », c’est tout pareil que Taken.
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Un increvable ex-agent secret (Liam Neeson) et des méchants (albanais), on « take » les mêmes que dans « Taken » et on recommence. Mais sans y croire ! Clichés de thriller, pauvres scènes d'action, tout a été fait au rabais. Le résultat est ringard en diable.