-
Au XVIIe siècle, un homme d’armes assiste, dans un couvent-prison, au procès d’une nonne accusée de sorcellerie. Quatre siècles plus tard, un inspecteur issu d’un ministère, joué par le même acteur, se rend sur les lieux désormais abandonnés et croise la route d’un comte aux allures de vampire. Assoiffé d’expérimentations, Marco Bellocchio invente une rêverie fantomatique qui superpose deux époques, pour déplorer le nouveau type de conformisme qu’imposent la modernité et la globalisation. Davantage que les personnages apathiques, c’est l’autoportrait en creux du cinéaste (dont la longévité artistique, de cinquante ans, lui a permis de dépasser les modes) qui fait naître quelques vibrations.
-
Au XVIIe siècle, un homme d’armes assiste, dans un couvent-prison, au procès d’une nonne accusée de sorcellerie. Quatre siècles plus tard, un inspecteur issu d’un ministère, joué par le même acteur, se rend sur les lieux désormais abandonnés et croise la route d’un comte aux allures de vampire. Assoiffé d’expérimentations, Marco Bellocchio invente une rêverie fantomatique qui superpose deux époques, pour déplorer le nouveau type de conformisme qu’imposent la modernité et la globalisation. Davantage que les personnages apathiques, c’est l’autoportrait en creux du cinéaste (dont la longévité artistique, de cinquante ans, lui a permis de dépasser les modes) qui fait naître quelques vibrations.
Toutes les critiques de Sangue del mio Sangue
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
-
Fascinant.
-
La mise en scène est un peu tape-à-l’œil, la métaphore un peu fumeuse. Mais le film, presque drôle, quasi génial, laisse transparaître un Marco Bellocchio, à 75 ans, plus jeune que jamais.
-
Pas simple à suivre, mais comme toujours avec Marco Bellocchio, le film est bourré de tiroirs au contenu enrichissant et insolent.
-
(....) un hymne à la vie, d’un film sur la vieillesse aussi, beaucoup plus intelligent, drôle, libre et subtil que l’affreux "Youth" de Paolo Sorrentino.
-
Pour fêter ses 50 ans de carrière, le grand cinéaste italien Marco Bellocchio signe un film d’une bizarrerie et d’une irrégularité – mais on pourrait tout aussi bien dire d’une liberté d’inspiration – qui risquent d’en désarçonner plus d’un.
-
La mise en scène est un peu tape-à-l’œil, la métaphore un peu fumeuse. Mais le film, presque drôle, quasi génial, laisse transparaître un Marco Bellocchio, à 75 ans, plus jeune que jamais.
-
Fascinant.
-
Pas simple à suivre, mais comme toujours avec Marco Bellocchio, le film est bourré de tiroirs au contenu enrichissant et insolent.
-
(....) un hymne à la vie, d’un film sur la vieillesse aussi, beaucoup plus intelligent, drôle, libre et subtil que l’affreux Youth de Paolo Sorrentino.
-
Pour fêter ses 50 ans de carrière, le grand cinéaste italien Marco Bellocchio signe un film d’une bizarrerie et d’une irrégularité – mais on pourrait tout aussi bien dire d’une liberté d’inspiration – qui risquent d’en désarçonner plus d’un.
-
(...) le cinéaste italien pose un regard acerbe sur son pays, dans la veine des comédies des années 60.
-
Le lien entre les deux histoires?? Il est informulable sinon par la magie du cinéma, dont Marco Bellochio se sert ici en maître afin de revisiter des thèmes chers (identité, désir, engagement, fantasmes sadiques…). Et dire sa nostalgie.
-
Une belle curiosité artistique.
-
(...) le cinéaste italien pose un regard acerbe sur son pays, dans la veine des comédies des années 60.
-
Le lien entre les deux histoires?? Il est informulable sinon par la magie du cinéma, dont Marco Bellochio se sert ici en maître afin de revisiter des thèmes chers (identité, désir, engagement, fantasmes sadiques…). Et dire sa nostalgie.
-
Une belle curiosité artistique.
-
De belles idées en surnombre aboutissent à un film souvent hermétique... Marco Bellochio semble s'enfermer dans ses pensées et retourner à l'époque, peu inspirée, de "La Sorcière" (1988).
-
De belles idées en surnombre aboutissent à un film souvent hermétique... Marco Bellochio semble s'enfermer dans ses pensées et retourner à l'époque, peu inspirée, de La Sorcière (1988).
-
Mais qu’est-ce qui est donc passé par la tête du cinéaste italien pour livrer un film à ce point dévitalisé, à côté de la plaque, à la raison d’être si insignifiante, une ombre caricaturale de son cinéma ?
-
Mais qu’est-ce qui est donc passé par la tête du cinéaste italien pour livrer un film à ce point dévitalisé, à côté de la plaque, à la raison d’être si insignifiante, une ombre caricaturale de son cinéma ?