Toutes les critiques de Patries

Les critiques de Première

  1. Première
    par Bernard Achour

    Il y a, dans le cinéma "à l’arrache" de Cheyenne Carron, quelque chose d’un John Cassavetes au féminin, voire d’une Maïwenn encore confidentielle. Sans égaler l’élan romanesque de La Fille publique ou l’électrisante intensité de "L’Apôtre", son nouveau film offre des pics d’inspiration humaine et visuelle. Soit les destins croisés de deux ados des cités : l’un, blanc, qui tente de s’intégrer dans un monde inconnu, l’autre, noir, de plus en plus habité par ses origines camerounaises. Parfois trop prévisibles, les soubresauts de leur amitié donnent une image saisissante, noble, lucide et lyrique d’une France multiple, de sa jeunesse, de la grandeur de ces deux êtres et de leurs contradictions

  2. Première
    par Bernard Achour

    Il y a, dans le cinéma "à l’arrache" de Cheyenne Carron, quelque chose d’un John Cassavetes au féminin, voire d’une Maïwenn encore confidentielle. Sans égaler l’élan romanesque de La Fille publique ou l’électrisante intensité de L’Apôtre, son nouveau film offre des pics d’inspiration humaine et visuelle. Soit les destins croisés de deux ados des cités : l’un, blanc, qui tente de s’intégrer dans un monde inconnu, l’autre, noir, de plus en plus habité par ses origines camerounaises. Parfois trop prévisibles, les soubresauts de leur amitié donnent une image saisissante, noble, lucide et lyrique d’une France multiple, de sa jeunesse, de la grandeur de ces deux êtres et de leurs contradictions

Les critiques de la Presse

  1. Le Monde
    par Noémie Luciani

    Toujours aussi loin de la caricature que du politiquement correct, la réalisatrice propose à nouveau un film très modeste dans sa forme, mais très riche dans les moyens qu’il trouve d’inviter au dialogue.

  2. Le Monde
    par Noémie Luciani

    Toujours aussi loin de la caricature que du politiquement correct, la réalisatrice propose à nouveau un film très modeste dans sa forme, mais très riche dans les moyens qu’il trouve d’inviter au dialogue.

     

  3. Télérama
    par Jacques Morice

    Le film agace par sa naïveté et ses facilités, mais émeut par ses moments de vérité.

  4. Télérama
    par Jacques Morice

    Le film agace par sa naïveté et ses facilités, mais émeut par ses moments de vérité.

  5. StudioCiné Live
    par Véronique Trouillet

    Deux destins maladroitement traités pour un résultat qui tourne court.

  6. Critikat.com
    par Clément Graminiès

    En ces temps où on ne cesse de nous parler n’importe comment d’identité nationale, on peut dire que l’hypothèse avancée par Patries est franchement discutable tant elle est simpliste.

  7. StudioCiné Live
    par Véronique Trouillet

    Deux destins maladroitement traités pour un résultat qui tourne court.

  8. Critikat.com
    par Clément Graminiès

    En ces temps où on ne cesse de nous parler n’importe comment d’identité nationale, on peut dire que l’hypothèse avancée par Patries est franchement discutable tant elle est simpliste.