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Après Tout peut arriver, Nancy Meyers continue de prouver que la libido agite aussi les quinquas... Nancy Meyers sert un scénario à l’humour parfois provoc’ sans jamais tomber dans la « beauffitude » le tout accompagné d’un casting 4 étoiles. Car Pas si simple marque surtout le grand retour d’Alec Baldwin. Il y incarne à merveille le cinquantenaire en rut en opposition au discret architecte interprété par Steve Martin. En canaille orgueilleuse, Baldwin est brillant et volerait presque la vedette à Meryl. La comédie romantique à voir pour donner un coup de fouet à votre hiver.
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Après Mamma Mia et Julie & Julia, Meryl Streep semble se spécialiser dans les rôles de quiquas virevoltantes (...). Si son énergie, communicative, est indéniable, elle ne suffit pas à voler dans les plumes d'une comédie dramatico-romantqiue bourrée de bons sentiments ricains à la gloire de la famille, cette valeur placée mille coudées au-dessus du couple.
Toutes les critiques de Pas si simple
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Si on nage dans la Californie magnifique d'avant la crise, où Porsche, villas de rêve et palaces servent de décor, on n'échappe pas aux clichés. Mais le visage et le rire de Meryl Streep crèvent littéralement l'écran. Et si c'était le réel intérêt de ce film ?
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La complicité réjouissante de ce duo est la seule bonne raison d'aller à la découverte de ce film aux situations trop calibrées pour séduire et qui tient plus d'une comédie de boulevard sous sédatif que d'une fantaisie amoureuse débridée.
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Efficace, la scénariste et productrice de Divorce à Hollywood et du Père de la mariée, réalisatrice de Tout peut arriver, orchestre sa comédie typiquement hollywoodienne, dosage bien formaté d'humour, d'émotion et de trémolos. Epaulée par une Meryl Streep dont l'abattage n'est jamais pris en défaut, elle divertit, donne le sourire, rythme son intrigue avec professionnalisme. On regrette quelques vulgarités misogynes, par exemple lorsqu'épuisé par sa première étreinte torride avec son ex-femme, Jack pose la main sur son sexe en soupirant "Home sweet home". Ou lorsque les amies de Jane réunies devant une tasse de thé plaisantent sur le rétrécissement du vagin des divorcées.
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Cette comédie de boulevard qui zigzague entre le romantisme pour milliardaires et le graveleux à deux sous ne vaut que pour ses stars, et principalement pour une Meryl Streep à qui l'on pardonne tout.
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Une comédie de moeurs parfois burlesque qui raconte la difficulté de réussir une séparation et de refaire sa vie. Si le scénario n'évite pas les clichés, il offre néanmoins une nomination aux Golden Globes à Meryl Streep et un rôle sur mesure à l'irrésistible Alec Baldwin qui joue à fond la carte de l'autodérision.
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On est quelque part entre "Modes et Travaux" et une pub pour la vie sympa façon "l’ami Ricorée". Dans le genre, ça se laisse regarder, principalement grâce au trio d’acteurs en roue libre. Le cinéma, dans tout ça ? Reprenons…