-
Quatre personnages disparates se croisent à un tournant de leur vie. Soit une romancière acariâtre, une jeune muette (Juliette Besson, fille de Luc et d’Anne Parillaud), un diplômé travaillant dans un sex-shop et une boulimique solitaire. Tout cela est longtemps banal, filmé sans grâce, à l’arrache et en HD. Lorsque les fils se nouent enfin, plutôt joliment, il est un peu tard. La seule en laquelle on croit vraiment, c’est Marilyn, qui pense que son corps enrobé lui interdit l’amour : Anita Lecollinet, actrice débutante, la rend très émouvante.
Toutes les critiques de Par les épines - Histoire de quatre printemps
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
-
Premier film de Romain Nicolas, qui a appris son métier sur les plateaux de Luc Besson, « Par les épines » est sincère, sensible et, dans ses meilleurs moments, très beau.
-
Pour son premier long métrage, Romain Nicolas entremêle quatre courts poétiques et burlesques, qu'il relie par quelques pirouettes de scénario. Mineur mais séduisant.
-
Le manque de souffle empêche le cinéma de Romain Nicolas de s'électriser, d'entrer en mouvement. Il lorgnerait pourtant volontiers du côté d'un Donoma : même choralité confluente, même complémentarité bricolée des destins, même palette poétique de marginaux.
-
Quelques jolies trouvailles, dans un film assez maladroit.
-
"Par les épines" donne le sentiment d'être le résultat d'un cours de théâtre amateur. La naïveté en moins.
-
(...) on ne parvient pas à trouver d'élément saillant auquel se raccrocher dans cette fable chorale sur la solitude.
-
Une succession d'instants de vie, d'un intérêt relatif.