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Pour son premier long, Thor Freudenthal reprend une formule éprouvée sur Stuart Little : diriger de vrais animaux en les dotant de dons humains. En jouant sur la fibre affective et sur la découverte d’Emma Roberts (la nièce de Julia), il réussit une histoire légère mais émouvante.
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Palace pour chiens plaira sans doute et essentiellement aux très jeunes amateurs de facéties canines et d'histoires mièvres.