Mia et le Migou-
Fable sur les dégâts de la mondialisation, Mia et le Migou est une bonne introduction aux rapports Nord/Sud pour les enfants. On pourra alors regretter que Girerd pille allègrement le patrimoine de Miyazaki (sur le fond, mêlant écologie et fantastique, comme sur la forme) dans sa seconde partie. C’est d’autant plus dommage quand la première, très picturale, s’avère des plus personnelle. Tout comme cet attachant Migou, qui a tout pour devenir, chez les plus petits, une mascotte à la Totoro.
Toutes les critiques de Mia et le Migou
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Mia et le Migou ne déçoit pas en poursuivant dans la voie de l'excellence. Parents, un conseil: si une lointaine tante vous propose d'accompagner vos enfants voir Mia et le Migou, refusez... avec tac et délicatesse. Ce serait vous priver d'une heure trente de pur bonheur visuel et de bons sentiments, jamais gnangnan, sur fond écolo.
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Dans les luxuriants paysages d’Amérique latine, le voyage initiatique de Mia a de belles couleurs chaudes et un beau graphisme, et porte un regard pertinent sur les relations parents-enfants. A l’instar d’un Miyazaki, et tout aussi préoccupé des humains que de la nature, le réalisateur Jacques-Rémy Girerd, auteur de deux autres bijoux, L’enfant au grelot et La prophétie des grenouilles, offre un conte d'aujourd'hui qui réunit les enfants et la terre dans un même élan protecteur.
