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Violette a réussi dans la mode ; elle est mère célibataire de Lolo, 19 ans, un génie selon elle. Lorsqu’elle s’amourache de Jean-René, la chair de sa chair décide de l’en dégoûter... Deux thèmes d’actualité sont abordés ici : les "enfants rois" et la difficulté de refaire sa vie. Y allant franco dans le registre de la comédie, Julie Delpy démarre son film sur les chapeaux de roues, à coups de dialogues cinglants et de situations hilarantes. Karin Viard, Dany Boon et Vincent Lacoste lui donnent la réplique avec entrain. Mais, la vendetta de Lolo s’installant, l’aspect trop diabolique du chérubin fait virer l’ensemble au cartoon grotesque, bourré d’incidents visuels, plus agité que convaincant.
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Violette a réussi dans la mode ; elle est mère célibataire de Lolo, 19 ans, un génie selon elle. Lorsqu’elle s’amourache de Jean-René, la chair de sa chair décide de l’en dégoûter... Deux thèmes d’actualité sont abordés ici : les "enfants rois" et la difficulté de refaire sa vie. Y allant franco dans le registre de la comédie, Julie Delpy démarre son film sur les chapeaux de roues, à coups de dialogues cinglants et de situations hilarantes. Karin Viard, Dany Boon et Vincent Lacoste lui donnent la réplique avec entrain. Mais, la vendetta de Lolo s’installant, l’aspect trop diabolique du chérubin fait virer l’ensemble au cartoon grotesque, bourré d’incidents visuels, plus agité que convaincant.
Toutes les critiques de Lolo
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Avec ses dialogues crus, voire grossiers, cette manière sans faux col de faire parler les femmes des performances sexuelles de leurs amants, de leurs bourrelets ou de leurs fantasmes, Julie Delpy met son grain de folie au service d'une comédie formidablement bien troussée et interprétée au petit poil.
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Avec ses dialogues crus, voire grossiers, cette manière sans faux col de faire parler les femmes des performances sexuelles de leurs amants, de leurs bourrelets ou de leurs fantasmes, Julie Delpy met son grain de folie au service d'une comédie formidablement bien troussée et interprétée au petit poil.
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Avec ses dialogues crus, voire grossiers, cette manière sans faux col de faire parler les femmes des performances sexuelles de leurs amants, de leurs bourrelets ou de leurs fantasmes, Julie Delpy met son grain de folie au service d'une comédie formidablement bien troussée et interprétée au petit poil.
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Dialogues d'un piquant réjouissant au début, petite baisse de régime dans l'écriture au milieu et dernier tiers décapant, aux lisières de l'angoisse, bref épatant.
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(...) un ton farfelu qui pousse le récit dans des voies secondaires drôles et délirantes, un regard aigu sur la société française, un humour sexuel très cru (ici surtout entre femmes), une direction d’acteurs qui semble aussi implacable, précise sur le rythme, que foutraque (...)
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Les personnages sont croustillants, les dialogues piquants, les mots cash.
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Julie Delpy invente, sous les traits de Vincent Lacoste, un personnage d'adolescent pervers narcissique aussi drôle qu'inquiétant…
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Lolo est donc bien une étape pour Julie Delpy puisqu’en plus d’être son film le plus équilibré et le plus solide, il réussit le pari de la comédie populaire sans tirer sur les grosses ficelles habituellement de mise — chose rare ces dernières années.
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Dialogues d'un piquant réjouissant au début, petite baisse de régime dans l'écriture au milieu et dernier tiers décapant, aux lisières de l'angoisse, bref épatant.
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Non, "Lolo" n’est pas épouvantable, mais il fait tâche dans la filmographie audacieuse de Julie Delpy. Passer d’un style allénien à la plus simple des comédies romantico-bourgeoises franchouillardes : la joue nous brûle encore.
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Lolo se termine d'une façon moins consensuelle, plus féroce que prévu. Dans une comédie qui vise un très large public, c'est indéniablement une audace de fuir toute réconciliation.
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Véritablement préoccupée par son seul personnage, la réalisatrice réduit ceux qui lui tournent autour à de simples silhouettes, et se prive des épices qui auraient pu donner de la saveur à son film.
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Lolo ennuie davantage quand il veut se moquer des fossés sociaux, manque de pincettes lorsqu’il illustre trop fortement la différence entre une bourge et un beauf,
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Lolo, c’est un peu le mariage pour tous, celui de toutes les comédies, un divertissement généreux qui assoit un peu plus le talent d’écriture de Julie Delpy qui peaufine les dialogues truculents, avec une spontanéité feinte qui caractérise son style.
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Non, Lolo n’est pas épouvantable, mais il fait tâche dans la filmographie audacieuse de Julie Delpy. Passer d’un style allénien à la plus simple des comédies romantico-bourgeoises franchouillardes : la joue nous brûle encore.
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(...) le film reste en kit, semblable à une liste d’intentions qui ne s’emboîtent jamais.