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Nouveau pari fou pour Jacques Perrin et son équipe, après les hauteurs lyriques du Peuple migrateur et les plongées d’Océans : retracer l’histoire des territoires européens de la fin de l’ère glaciaire, où surgit une forêt luxuriante peuplée d’animaux sauvages, jusqu’à la création des campagnes sous l’impulsion de l’homme moderne. Il y a quelque chose de simple et d’évident dans la succession des saisons et des séquences qui enjambent parfois des siècles en une seconde. Là, se croisent bisons et écureuils, chevaux et hérissons, biches et lynx... Un film techniquement parfait, avec des moments de grâce absolue, des batailles homériques d’ours bruns au vol vrombissant d’un lucane cerf-volant.
Toutes les critiques de Les saisons
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Cette impressionnante saga coréalisée avec Jacques Cluzaud, qui s'ouvre avec des cavalcades de bœufs musqués sous les vents furieux de l'hiver norvégien, est à voir en famille.
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Allez-y avec vos enfants, vous serez éblouis et vous ne le regretterez pas.
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(...) la compétence technique, le talent artistique et la nécessité de discours légitiment cette oeuvre moins originale que les autres, mais tout aussi indispensable.
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Un hymne à une nature aujourd'hui disparue, qui enchante et revigore.
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Quiconque s'est déjà promené en forêt sans apercevoir plus que le panache d'un écureuil appréciera la prouesse et la leçon d'écologie, assénée en douceur, pour plus d'efficacité.
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Les Saisons est magnifique, mais pas que. C'est également, et surtout, une formidable leçon d'histoire naturelle.
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(...) Jacques Perrin et Jacques Cluzaud livrent un nouveau documentaire captivant
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C’est comme si, un instant, on avait appuyé sur la touche pause de notre frénétique quotidien. A voir sans modération.
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Toutes les scènes apportent leur lot d’émotions, de sourires ou de surprises – et quelques sublimes moments de grâce.
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C’est comme ça : il y a ce côté pédagogico-neuneu, et en même temps un envoûtement qu’on rechigne à bouder.
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Cette ode à la forêt européenne en voie de disparition témoigne de la faculté d’émerveillement intacte des auteurs. En revanche, leur faculté à émerveiller est entravée par l’accumulation des artifices.
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Ses 20.000 ans, serrés en 95 minutes, passent comme une après-midi en forêt.