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Sorte de cousin du récent tunisien Amel et les fauves, Les damnés ne pleurent pas dénonce la société marocaine étouffant sous la domination patriarcale à travers la relation fusionnelle d’une mère et de son fils, victimes l’un comme l’autre de la violence des quand dira t’on et de leurs pas de côté par rapport à la bonne morale exigé. Des personnages passionnants desservis par un récit qui aurait mérité à être resserré pour mieux en exprimer toute la puissance.