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Moins connu que Tout ce que le ciel permet, qui ressort simultanément, ce sublime mélo datant de 1958 raconte l’histoire d’amour éphémère entre un soldat allemand et une jeune Berlinoise dans un IIIe Reich agonisant. Tourné en Technicolor, Le Temps d'aimer et le temps de mourir, adaptation d’un livre de l’écrivain pacifiste Erich Maria Remarque, est un choc esthétique doublé d’une réflexion sur l’absurdité de la guerre.
Toutes les critiques de Le temps d'aimer et le temps de mourir
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Ce mélodrame, tiré du roman éponyme d'Erich Maria Remarque, est l'avant-dernier film de Douglas Sirk. Il dépeint les amours tragiques d'un soldat en permission et d'une jeune femme à la recherche des siens. C'est un film de référence, une vision unique sur la Seconde Guerre mondiale, qui met en scène la guerre côté allemand: ses victimes civiles, l'enlisement du front germano-soviétique et le pilonnage des villes par les alliés. Qui d'autre que Douglas Sirk pouvait mettre en scène cette version de l'Histoire, lui l'Allemand arrivé à Hollywood en 39?