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Gros nanar sévèrement atrophié, Ghost Rider déchire sans peine la concurrence des adaptations marveliennes sur le terrain de la nullité. Mark Steven Johnson avait déjà commis l’incroyable Daredevil, il remet ça avec un Nicolas Cage insipide (pléonasme ?) en motard diabolique. 120 millions de dollars plus tard, il ne reste rien d’autre qu’une vilaine pétarade pyrotechnique, entre un mauvais épisode de Buffy contre les vampires et un bon vieux congrès de bikers à « mullet » et tatouages d’aigles. Que cette mobylette tunée soit un succès aux Etats-Unis traduit deux choses : soit les américains sont définitivement perdus, soit ils font preuve d’un second degré phénoménal. Un conseil, choisissez l’option 2, et allez-y entre potes. Fous rires garantis.
Toutes les critiques de Ghost Rider
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Le film est une attraction qui s’assume, incluant grand huit et train fantôme dans le ticket d’entrée (des vilains démons risquent d’effaroucher les plus petits). Avis aux amateurs de fête foraine…
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C'est Nicolas Cage qui interprète cette nouvelle figure de super-héros. Les diverses péripéties qui se succèdent sont prétextes à de laids effets spéciaux numériques. Le Daredevil signé, il y a trois ans, du même réalisateur était plus intéressant.