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Dans la famille Untel, je voudrais les parents « normaux », le fils cadet puceau, l’aîné débauché, la fille adoptée gourmande, le grand-père qui fréquente les call-girls... Les duettistes Barr et Arnold tentent de retrouver l’esprit érotico-libertaire de Lovers et Too Much Flesh. Hélas, Chroniques... ressemble plus à un catalogue fastidieux de pratiques érotiques (pas trop déviantes, quand même) qu’à une exploration en bonne(s) et due(s) forme(s) de la sexualité.
Toutes les critiques de Chroniques sexuelles d'une famille d'aujourd'hui
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Chouette idée que de plonger dans la vie sexuelle d'une famille, mais malgré d'excellents comédiens, le film peine à sortir des schémas classiques.
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Chroniques sexuelles s’aventure sur le terrain de la sexualité pour réfléchir à une alternative à la pornographie. Jamais vulgaire ni impudique, le film est souvent drôle et juste.
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Trop bancal pour générer l'orgasme cinéphilique cet American Pie version Rohmer reste néanmoins joyeusement transgressif.
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La pertinence des réflexions et le souci esthétique des cadres suffisent à la réussite de ce sujet, d'habitude abordé par-dessus la jambe dans des reportages télé voyeuristes, mais qui bénéficie ici du prisme de la fiction autorisant une liberté de ton et quelques bons mots.
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Emballé à la caméra numérique, le résultat prend certes le risque d’une certaine répétitivité, et le personnage de la sœur pâtit d’un embarrassant déficit d’interprétation. Mais il y a là un tel élan sensuel, une volonté d’optimisme si contagieuse et une dimension pédagogique tellement bienvenue que cette auscultation des hormones de l’époque se révèle presque d’utilité publique.
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Un discours déclamé avec une naïveté, un enthousiasme et une chasteté déconcertants.
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Une écriture plus soignée aurait peut-être permis à cet acte de militantisme hédoniste de toucher un peu plus profond.
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Souvent trop théorique, un film qui passe à côté de son sujet.
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Romain s'est fait surprendre au lycée en train de filmer sa masturbation. Mais son grand drame, c'est qu'il est toujours puceau à 18 ans... Comédie pas drôle, qui rappelle les pornos soft que signait Max Pécas dans les années 7O...
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Film onaniste, au coté voyeuriste totalement assumé, ce film est surtout terriblement ennuyeux.