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Noah Griffith, étudiant largué, est forcé de garder les trois gamins de sa voisine. La soirée baby-sitting va se révéler plus mouvementée que prévu... Vague remake du Nuit de folie de Chris Columbus (1988), The Sitter ajoute un nouveau point d’interrogation à l’énigme David Gordon Green. Pourquoi le génial réalisateur contemplatif de L’Autre Rive s’obstine-t-il à signer des comédies léthargiques de plus en plus nulles ? Restons optimistes : après Délire express et Votre majesté, il ne risque pas de tomber plus bas que ce nouvel affront au (bon) sens de l’humour.
Toutes les critiques de Baby-sitter malgré lui
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Ce produit affreusement standardisé canalisé par une mise en scène tout en creux, qui se limite à un rôle de réceptacle conduisant le flot des péripéties du début du film jusqu'à sa fin, est aussi excitant qu'un papier gras sous la pluie.
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Le talent comique de Jonah Hill ne suffit pas à faire oublier les faiblesses du scénario.
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Dans ce film navrant, Jonah Hill [est en roue libre] (...). Réalisé à la va-vite, pillant sans vergogne "SuperGrave" et "L'Oncle Buck" de John Hughes, et gaspillant son énergie en d'interminables gesticulations typiques des accros à la poudre blanche, "The Sitter" ne dépareille hélas pas dans la production contemporaine : il en constitue la triste norme.
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Une comédie trop lourde pour tirer un seul sourire. A éviter.