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Tunis, été 2010. Farah, 18 ans, chante dans un groupe de rock contestataire mais son désir de s’exprimer se heurte à la censure. Ce vibrant premier film multiplie les séquences musicales rageuses puis prend un recul inattendu pour offrir la peinture d’une Tunisie qui se remet lentement à respirer
Toutes les critiques de A peine j'ouvre les yeux
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Le film est une vraie réussite, débordant de sensualité. Il porte en lui les envies de liberté propre à chacun. A voir absolument.
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Dans le rôle de Farah, Baya Medhaffar possède une belle énergie et une voix extraordinaire.
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Gracieux coup de poing que ce premier long métrage qui combine ardeur politique et qualités musicales — les scènes de concert du groupe sont électrisantes.
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La réalisatrice se nourrit de l’énergie furieuse de son interprète, Baya Medhaffar, pour réussir un film fiévreux et sensuel.
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Une jolie réussite à la fois mélancolique et rageuse à l'image de sa protagoniste.
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(...) un portrait vibrant de la jeunesse tunisienne.
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Porté par la très talentueuse Baya Medhaffar, laquelle dispose d’une voix orientale-pop proche de la libanaise Yasmine Hamdan, ce drame solaire devrait parler à tous les visages de la jeunesse.
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Ce beau portrait d’une jeune fille d’aujourd’hui touche par sa sincérité et celles de ses actrices.
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Film électrique qui n’est pas exempt des maladresses propres aux premiers films, sensuel et chaud, irrigué par la musique et la détermination de Farah, décidée à en découdre, sans s’apercevoir que sa mère est plus proche qu’elle ne le croit.
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Un témoignage intense sur une cocotte-minute qui explosera quelques mois plus tard. Un très joli film.
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L’actrice débutante Baya Medhaffar donne toute sa fougue à cette lycéenne qui s’ouvre à l’amour, et veut exister pleinement dans une société muselée par les interdits.
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A peine… est film en creux, dans l’attente de la délivrance ou de la catastrophe, qui en dit beaucoup avec discrétion, comme ces plans de places désertes le soir tombé, cette tension permanente entre les gens où une bousculade, un mot de travers peuvent apporter dénonciation, interrogatoire, prison peut-être (...)
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Les numéros musicaux sont de qualité, mais le film leur accorde un peu trop d’importance : ils ralentissent le tempo et font perdre au film de son intensité.